LE COMPLOT CONTRE LA RÉSURRECTION DE JÉSUS-CHRIST

Le matin de Pâques, tandis que les femmes sont en chemin pour annoncer la résurrection de Jésus aux disciples, quelques hommes de la garde qui surveillaient son tombeau sont allés informer les principaux sacrificateurs juifs de ce qui était arrivé. Ceux-ci, tiennent alors conseil avec les responsables du peuple, et décident ensemble de dissimuler ce qui s’est passé.

La Bible dit que ceux-ci, après s’être assemblés avec les anciens et avoir tenu conseil, donnèrent aux soldats une somme importante d’argent, pour qu’ils racontent que les disciples de Jésus étaient venus de nuit et avaient volé son corps pendant que les gardes dormaient. Les chefs religieux ont également promis de protéger les soldats en intervenant auprès des autorités romaines, si jamais ces derniers avaient des ennuis pour avoir prétendument dormi pendant leur garde.

Ils leur ont dit: «Dites: Ses disciples sont venus de nuit le dérober, pendant que nous dormions. Et si le gouverneur l’apprend, nous l’apaiserons, et nous vous tirerons de peine. Les soldats prirent l’argent, et suivirent les instructions qui leur furent données. Et ce bruit s’est répandu parmi les Juifs, jusqu’à ce jour.»(Matthieu 28:12-15)

Ainsi, ils venaient d’inventer un complot selon lequel la résurrection est un mensonge, niant ainsi l’événement central de la foi chrétienne.

En effet, la résurrection de Jésus-Christ est un événement central de la foi chrétienne. Elle est considérée comme le fondement même du christianisme. Les chrétiens croient que Jésus est ressuscité des morts le troisième jour après sa crucifixion, marquant ainsi sa victoire sur la mort et le péché. Cette croyance est au cœur du message chrétien de salut et d’espérance en la vie éternelle.
La résurrection est célébrée chaque année lors de Pâques, la fête la plus importante du calendrier chrétien. Selon la théologie chrétienne, sans la résurrection, la foi chrétienne serait vaine, car elle prouve la divinité de Jésus et confirme ses enseignements. L’apôtre Paul souligne l’importance de cet événement dans 1 Corinthiens 15:14, où il déclare: « Et si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine. »

LE BUT DE CE COMPLOT

Le but du complot contre la résurrection de Jésus était de dissimuler cet événement et d’empêcher la diffusion de la croyance selon laquelle Jésus était réellement ressuscité des morts.
Les chefs religieux juifs, qui avaient été opposés à Jésus pendant son ministère, craignaient que la nouvelle de sa résurrection ne renforce davantage sa réputation et n’entraîne une augmentation du nombre de ses disciples. Ils voulaient éviter que ce miracle ne légitime Jésus en tant que Messie et Fils de Dieu, ce qui aurait pu compromettre leur autorité et leur position.

Les chefs religieux voyaient la résurrection de Jésus comme une menace directe à leur autorité et à leur contrôle sur le peuple. En répandant la rumeur que le corps de Jésus avait été volé par ses disciples, ils cherchaient à discréditer l’idée même de la résurrection.

Si les gens croyaient que Jésus était vraiment ressuscité, cela aurait renforcé sa revendication d’être le Messie et aurait poussé plus de personnes à suivre ses enseignements, affaiblissant ainsi l’influence des chefs religieux. Leur objectif était donc d’empêcher les gens de croire en Jésus en semant le doute et en discréditant ce moment central de la foi chrétienne.

Pourquoi les chefs religieux ont-ils dû être complices avec les gardes?

Les chefs religieux juifs de l’époque, principalement les pharisiens et les sadducéens, avaient plusieurs raisons pour lesquelles ils cherchaient à discréditer la résurrection de Jésus et ont donc dû être complices avec les gardes pour soutenir leur version des événements.

1. Maintenir leur autorité religieuse:
Jésus avait gagné une grande popularité parmi le peuple en raison de ses enseignements, de ses miracles, et de sa prétention à être le Messie. Si sa résurrection était avérée, cela aurait légitimé ses revendications et affaibli l’autorité des chefs religieux, mettant en danger leur position de pouvoir. Or, les chefs religieux, tels que les pharisiens et les sadducéens, avaient une position d’autorité et d’influence sur le peuple. La résurrection de Jésus représentait donc une menace directe à cette autorité, car elle pouvait être perçue comme une validation de ses enseignements et de ses revendications messianiques. Si le peuple croyait que Jésus était ressuscité, cela aurait affaibli leur pouvoir et leur contrôle.

2. Empêcher une révolte:
Les chefs religieux craignaient que la nouvelle de la résurrection de Jésus ne provoque des troubles parmi le peuple juif, qui était déjà sous l’occupation romaine. Une croyance généralisée en la résurrection de Jésus aurait pu entraîner un mouvement messianique encore plus fort, ce qui aurait pu provoquer une révolte contre les autorités romaines. Les chefs religieux, qui collaboraient avec les Romains pour maintenir l’ordre, voulaient éviter tout soulèvement qui aurait pu entraîner une répression brutale. Une insurrection ou un mouvement populaire en faveur de Jésus aurait pu attirer l’attention des autorités romaines, ce qui aurait pu conduire à une répression violente contre la population juive.

3. Peur de perdre le contrôle du peuple:
Si les gens croyaient en la résurrection de Jésus, ils pourraient commencer à suivre ses enseignements plutôt que ceux des autorités religieuses établies. Cela aurait affaibli le contrôle des chefs religieux sur le peuple et mis en péril leur influence.

4. Maintien de l’alliance avec les autorités romaines:
Les chefs religieux avaient une relation délicate avec les autorités romaines. Ils étaient responsables du maintien de l’ordre parmi les Juifs, et tout signe de trouble pouvait les mettre en conflit avec les Romains. En répandant la rumeur que le corps de Jésus avait été volé, ils cherchaient à éviter des représailles et à maintenir une stabilité relative sous la domination romaine.

5. Discréditer les disciples de Jésus:
En affirmant que les disciples avaient volé le corps, les chefs religieux cherchaient à discréditer non seulement l’événement de la résurrection, mais aussi les disciples eux-mêmes. Cela aurait pu semer le doute parmi ceux qui suivaient ou envisageaient de suivre les enseignements de Jésus.
En résumé, les chefs religieux avaient des motivations politiques, sociales, et religieuses pour discréditer la résurrection de Jésus, et ils ont donc choisi de collaborer avec les gardes pour élaborer une version des faits qui servirait leurs intérêts.

Et ce complot s’est répandu jusqu’aujourd’hui…

Le passage de Matthieu 28:15 mentionne que la rumeur selon laquelle les disciples de Jésus auraient volé son corps pendant que les gardes dormaient s’est répandue « parmi les Juifs, jusqu’à ce jour. »
Cette diffusion du mensonge a probablement eu lieu de plusieurs manières:

1. Propagation orale:
À l’époque, les informations et les rumeurs se répandaient principalement par le bouche-à-oreille. Les gardes, après avoir reçu l’argent des chefs religieux, ont sans doute partagé cette version des faits avec leurs proches, amis, et collègues. À mesure que cette histoire se propageait de personne en personne, elle a pris de l’ampleur, surtout dans une société où les nouvelles circulaient rapidement dans les marchés, les synagogues, et d’autres lieux de rassemblement.

2. Influence des chefs religieux:
Les autorités religieuses, qui jouissaient d’une grande influence sur la population juive, ont pu utiliser leur position pour renforcer et légitimer cette rumeur. Ils auraient pu enseigner ou insister sur cette version des faits dans les synagogues, ou lors des rassemblements publics, pour s’assurer que cette interprétation de l’événement soit acceptée par le plus grand nombre.

3. Répression des récits concurrents:
Les chefs religieux, en position de pouvoir, auraient pu tenter de discréditer ou de réprimer toute autre version de l’événement, y compris les témoignages des disciples de Jésus concernant sa résurrection. En contrôlant la narration dominante, ils pouvaient mieux influencer l’opinion publique.

4. Méfiance envers les disciples:
Pour beaucoup de Juifs qui n’étaient pas convaincus de la messianité de Jésus, l’idée que les disciples aient volé son corps pouvait sembler plausible. Cette méfiance naturelle envers un groupe minoritaire qui prêchait un message controversé aurait facilité l’acceptation de la rumeur.

5. Perpétuation au fil des générations:
Une fois que cette rumeur s’est ancrée dans la communauté, elle a pu être transmise de génération en génération, à travers les récits familiaux, les enseignements religieux, et les traditions culturelles.
En résumé, la diffusion de cette rumeur s’est appuyée sur la propagation orale, l’influence des autorités religieuses, et une méfiance préexistante envers les disciples, ce qui a permis à cette histoire de se répandre largement et de perdurer dans le temps.

Le complot visant à discréditer la résurrection de Jésus, tel qu’il est mentionné dans l’Évangile de Matthieu, a pris différentes formes au fil des siècles, et ses échos se font encore sentir aujourd’hui. Voici quelques-unes des manières dont ce récit s’est perpétué ou transformé:

1. Théories du complot historique:
– Vol du corps: L’idée que le corps de Jésus a été volé par ses disciples, proposée par les chefs religieux pour expliquer la tombe vide, est une théorie qui a persisté au fil des siècles. Certains critiques et sceptiques de la résurrection continuent de promouvoir cette idée comme une alternative à la croyance en un événement surnaturel.
– Théories de substitution: D’autres théories ont émergé, suggérant que Jésus n’est pas réellement mort sur la croix, mais qu’il a été remplacé par quelqu’un d’autre ou qu’il a survécu à la crucifixion. Ces théories visent également à nier la résurrection.

2. Critiques et scepticisme moderne:
– Rationalisme et scepticisme: Avec l’avènement du rationalisme et de la pensée critique, particulièrement depuis le Siècle des Lumières, de nombreux penseurs ont rejeté la résurrection comme étant un mythe ou une légende embellie. Ils ont cherché des explications naturelles aux récits évangéliques, souvent en minimisant les aspects surnaturels.
– Débats académiques: La résurrection de Jésus reste un sujet de débat parmi les historiens, théologiens et philosophes. Certains chercheurs sceptiques continuent de proposer des explications alternatives à la résurrection, tandis que d’autres soutiennent l’authenticité historique de l’événement.

3. Représentations culturelles et médiatiques:
– Littérature et médias: Dans la littérature, les films, et d’autres formes de média, des récits fictifs ont souvent repris ou réinterprété l’idée d’un complot autour de la résurrection. Des œuvres ont exploré des scénarios où la résurrection est dépeinte comme une fraude ou un malentendu, contribuant à maintenir ces idées dans l’imaginaire populaire.
– Réinterprétations religieuses: Certaines branches du christianisme libéral ou d’autres mouvements religieux proposent des interprétations allégoriques ou symboliques de la résurrection, la voyant non comme un événement historique littéral, mais comme une métaphore spirituelle.

4. Controverses religieuses contemporaines:
– Divergences interreligieuses: Le débat sur la résurrection est également présent dans le dialogue interreligieux, notamment entre chrétiens et musulmans, ainsi que dans les échanges avec des personnes de foi juive. Certains groupes religieux remettent en question la résurrection comme une vérité historique, ce qui alimente des discussions théologiques.

En somme, bien que le récit du complot contre la résurrection soit ancien, ses implications continuent d’influencer les discussions sur la nature de la résurrection de Jésus et son rôle dans la foi chrétienne, ainsi que dans la critique religieuse et historique.

Les implications de ce complot sur la foi Chrétienne

La négation de la résurrection de Jésus devait sûrement avoir des implications profondes sur la foi chrétienne.
Voici quelques-unes de ces implications, accompagnées de leurs références bibliques:

1. La prédication serait vaine
Référence biblique:
«Si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine.»(1 Corinthiens 15:14)
Implication:
Si Jésus n’est pas ressuscité, la prédication des apôtres et de tous les chrétiens serait sans fondement, car le message central de l’Évangile repose sur la résurrection. Sans elle, il n’y aurait rien de valable à prêcher.

2. La foi des chrétiens serait inutile
Référence biblique:
«Si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine.»(1 Corinthiens 15:14)
Implication:
La foi chrétienne repose sur la conviction que Jésus est vivant, qu’il a vaincu la mort et qu’il est le Sauveur du monde. Sans la résurrection, cette foi serait inutile et sans fondement.

3. Les chrétiens seraient encore dans leurs péchés
Référence biblique:
Jésus a été livré pour nos péchés, et «il est ressuscité pour que nous soyons déclarés justes.»(Romains 4:25)
«Et si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés.»(1 Corinthiens 15:17)
Implication:
La résurrection est la preuve que le sacrifice de Jésus pour les péchés a été accepté par Dieu. Si Jésus n’est pas ressuscité, alors son sacrifice ne serait pas suffisant pour effacer les péchés, et les croyants seraient toujours sous la condamnation.

4. Les morts en Christ seraient perdus
Référence biblique:
«Et par conséquent aussi, ceux qui sont morts en Christ sont perdus.»(1 Corinthiens 15:18)
Implication:
Ceux qui sont morts en croyant en Jésus seraient définitivement perdus, car il n’y aurait pas de vie après la mort sans la résurrection. L’espérance en la vie éternelle disparaîtrait.

5. Les chrétiens seraient les plus à plaindre
Référence biblique:
«Si c’est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes.»(1 Corinthiens 15:19)
Implication:
Si l’espérance des chrétiens en Christ ne se limite qu’à cette vie, alors ils seraient les plus misérables, car ils ont placé leur foi en une illusion et enduré des souffrances pour une cause vaine.

6. La défaite de la mort ne serait pas accomplie
Référence biblique:
«Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite: La mort a été engloutie dans la victoire. O mort, où est ta victoire? O mort, où est ton aiguillon?»(1 Corinthiens 15:54-55)
«Car si nous avons été unis à lui par une mort semblable à la sienne, nous le serons aussi par une résurrection semblable à la sienne.»(Romains 6:5)
Implication: La résurrection de Jésus est vue comme la défaite ultime de la mort. Si elle n’a pas eu lieu, alors la mort n’a pas été vaincue, et elle reste la puissance finale sur l’humanité. La résurrection de Christ annonce la nôtre! Sans la sienne, l’attente de la nôtre s’évapore.

En résumé, sans la résurrection, le message du christianisme perdrait sa puissance et sa pertinence, car la résurrection est la garantie du salut, de la rédemption, et de la vie éternelle pour les croyants.

LES CONSÉQUENCES DE CE COMPLOT

Ce complot a eu des conséquences multiples, touchant à la fois la perception de l’événement par les contemporains et l’histoire ultérieure du christianisme. En voici quelques unes:

1. Division d’opinions:
Le complot a contribué à semer la confusion et la division parmi les gens. Certains ont cru en la résurrection de Jésus, tandis que d’autres, influencés par la version des autorités religieuses, ont pensé que son corps avait été volé par ses disciples. Cette divergence d’opinions a perduré et continue d’exister dans les débats historiques et religieux autour de la résurrection.

2. Renforcement de la foi chrétienne:
Malgré le complot, la foi en la résurrection de Jésus s’est propagée rapidement parmi ses disciples et au-delà. Les chrétiens voyaient dans ces tentatives de dissimulation une confirmation de l’importance et de la vérité de la résurrection, ce qui a renforcé leur détermination à proclamer ce message.

3. Développement de l’apologétique chrétienne:
Le complot a également conduit à l’élaboration d’arguments apologétiques de la part des premiers chrétiens pour défendre la réalité de la résurrection. Ils ont insisté sur le fait que les gardes n’auraient jamais pu dormir pendant leur service sans être punis, et que les disciples, craintifs et dispersés après la crucifixion, n’auraient pas osé voler le corps.
1.Propagation du christianisme:
Le complot a finalement échoué à empêcher la propagation du christianisme. La foi en la résurrection de Jésus est devenue le fondement du christianisme, et les récits de cette résurrection ont été largement diffusés par les apôtres et les premiers chrétiens, conduisant à la croissance rapide de la religion à travers l’Empire romain et au-delà.
2.Persécution des chrétiens:
En tentant de discréditer la résurrection, les autorités religieuses ont contribué à la persécution des premiers chrétiens, car ceux-ci continuaient à prêcher la résurrection malgré les tentatives de suppression. Cependant, ces persécutions ont souvent eu l’effet inverse, renforçant la foi des croyants et attirant davantage de personnes à la nouvelle foi.

En résumé, bien que le complot ait eu des effets immédiats sur la perception de l’événement, il n’a pas réussi à freiner l’expansion du christianisme, et a même, paradoxalement, contribué à renforcer la foi des premiers chrétiens.

Toutefois, il est regrettablement remarquable que ce complot reste encore aujourd’hui à la base d’un mouvement négativiste envers la foi en Jésus-Christ. Dans la tradition chrétienne, les implications de ne pas croire en Jésus-Christ sont profondément spirituelles et théologiques.
Voici quelques-unes des principales conséquences selon la doctrine chrétienne:

1.Séparation de Dieu:
Dans le christianisme, Jésus-Christ est vu comme le médiateur entre Dieu et l’humanité. En ne croyant pas en Jésus, une personne est perçue comme restant séparée de Dieu, incapable de recevoir le pardon des péchés et la réconciliation avec le Créateur.

2.Perte du salut:
La croyance en Jésus-Christ est considérée comme essentielle pour le salut. Selon le Nouveau Testament, ceux qui rejettent Jésus et son sacrifice pour les péchés ne recevront pas la vie éternelle, mais sont condamnés à la perdition éternelle (Jean 3:16-18, Romains 6:23). Cette perspective souligne que la foi en Jésus est indispensable pour être sauvé de la condamnation et pour entrer dans le royaume de Dieu.

3.Absence de la vie éternelle:
La foi en Jésus-Christ est associée à la promesse de la vie éternelle avec Dieu. En rejetant Jésus, une personne renonce à cette promesse et, selon la croyance chrétienne, fait face à une existence éternelle séparée de Dieu, souvent décrite comme l’enfer.

4.Manque de transformation intérieure:
Les chrétiens croient que la foi en Jésus conduit à une transformation intérieure par le Saint-Esprit, qui aide les croyants à vivre selon les valeurs du Royaume de Dieu, comme l’amour, la justice, et la paix. Sans cette foi, cette transformation et les fruits qu’elle produit dans la vie quotidienne peuvent être absents.

5.Jugement final:
Selon les Écritures chrétiennes, il y aura un jugement final où toutes les personnes seront jugées selon leur foi et leurs actions. Ceux qui n’ont pas cru en Jésus-Christ seront jugés en conséquence et punis pour leurs péchés, car ils n’auront pas accepté le pardon offert par le Christ.

6.Perte de la guidance divine:
La foi en Jésus est également vue comme la source de guidance, de sagesse, et de direction divine dans la vie quotidienne. Sans cette foi, une personne peut manquer cette guidance, qui est perçue comme essentielle pour vivre selon la volonté de Dieu.

En résumé, ne pas croire en Jésus-Christ, selon la théologie chrétienne, a des implications éternelles et spirituelles majeures, qui touchent à la relation avec Dieu, au salut, et à la destinée éternelle de l’individu.
Et dans la perspective chrétienne, ne pas croire en Jésus-Christ peut être interprété comme une forme de victoire pour Satan.
Voici comment cette idée est généralement comprise dans la théologie chrétienne :
1. Satan comme adversaire de Dieu:
Satan est souvent décrit dans la Bible comme l’ennemi de Dieu et de l’humanité, cherchant à détourner les gens de la vérité de l’Évangile et à les éloigner de Dieu. En refusant de croire en Jésus-Christ, une personne peut être vue comme cédant à l’influence de Satan, qui cherche à empêcher les gens de recevoir le salut offert par Dieu.
2. Victoire apparente de Satan:
Si quelqu’un rejette la foi en Jésus, cela peut être interprété comme une victoire temporaire pour Satan, car il a réussi à éloigner cette personne de la lumière et de la vérité de l’Évangile. Cependant, cette « victoire » est considérée comme temporaire parce que, dans la vision chrétienne, la victoire ultime appartient à Dieu, et Satan sera finalement vaincu.
3. Perdition et séparation éternelle:
Le rejet de Jésus-Christ est perçu comme conduisant à la perdition, c’est-à-dire à la séparation éternelle d’avec Dieu. Dans ce contexte, la personne qui ne croit pas en Jésus est vue comme étant sous l’influence de Satan, qui cherche à éloigner les âmes de Dieu. La perdition est souvent associée à l’enfer, un état ou un lieu de séparation éternelle d’avec Dieu, où Satan et ses anges déchus seront également jetés selon la tradition chrétienne (Matthieu 25:41).
4. Satan comme trompeur:
Satan est souvent décrit comme un trompeur, un « père du mensonge » (Jean 8:44). En ne croyant pas en Jésus, une personne peut être perçue comme ayant été trompée par les mensonges de Satan, qui cherche à obscurcir la vérité du Christ et à maintenir les gens da eu des effets immédiats sur la perception de l’événement ns les ténèbres spirituelles.
5. Importance de la foi pour résister à Satan:
La foi en Jésus-Christ est considérée comme une armure spirituelle qui protège les croyants contre les attaques de Satan. Dans Éphésiens 6:10-18, Paul parle de « l’armure de Dieu », où la foi, la vérité, et le salut sont des éléments essentiels pour résister aux « ruses du diable ».

Ainsi, selon la théologie chrétienne, ne pas croire en Jésus-Christ est vu comme un triomphe pour Satan, car cela signifie que la personne n’a pas accepté le salut et la réconciliation avec Dieu. Cela conduit à la perdition, une séparation éternelle d’avec Dieu, et une existence sous l’influence de Satan.

Il y a donc un lien évident entre ce complot et le satanisme !

Le lien entre le complot contre la résurrection de Jésus et le satanisme est principalement d’ordre interprétatif et théologique, et dépend largement des perspectives religieuses spécifiques.

1. Perspective chrétienne:
Dans le christianisme, la résurrection de Jésus est considérée comme l’événement central qui confirme sa divinité et le salut offert à l’humanité. Les Évangiles racontent que les chefs religieux juifs de l’époque ont tenté de dissimuler la résurrection en soudoyant des soldats pour qu’ils disent que le corps de Jésus avait été volé (Matthieu 28:12-15). Dans cette perspective, toute tentative de nier ou de discréditer la résurrection est vue comme une opposition à la vérité divine.

2. Liens avec le satanisme:
Le satanisme, tel qu’il est compris dans la tradition chrétienne, représente une opposition directe à Dieu et à ses plans. Or, tous les plans de Dieu pour sauver le monde ont été réalisées en et par Jésus-Christ lui-même. Par conséquent, les actes ou les complots visant à discréditer la résurrection de Jésus pourraient être interprétés comme étant inspirés par Satan ou comme relevant d’une influence satanique, puisque Satan est perçu comme l’adversaire de Dieu et du Christ.

3. Interprétations théologiques:
Certains théologiens ou croyants peuvent voir dans le complot pour nier la résurrection un exemple de l’œuvre de Satan pour tromper l’humanité et empêcher les gens de croire en Jésus. De ce point de vue, ceux qui tentent de contester ou de cacher la résurrection seraient, consciemment ou non, des instruments de l’opposition satanique au plan divin.

Il est important de noter que ces liens ne sont pas des faits établis mais des interprétations religieuses qui dépendent de la foi et des croyances personnelles. Toutefois, si l’on lit les onze règles du Satanisme, l’on reconnait si facilement leur aspect négateur à l’égard de la foi chrétienne.

Les « Onze Règles du Satanisme » font référence aux principes énoncés par Anton LaVey, le fondateur de l’Église de Satan, dans La Bible Satanique (1969). Ces règles ne sont pas des « commandements » au sens religieux traditionnel, mais plutôt des directives de comportement pour ceux qui adhèrent à la philosophie satanique de LaVey, qui se concentre sur l’individualisme, l’autosuffisance et le rejet des contraintes religieuses traditionnelles.

Voici les Onze Règles du Satanisme selon Anton LaVey :
1. Ne donnez pas votre opinion ou vos conseils à moins d’être demandé.
2. Ne racontez pas vos soucis aux autres à moins que vous ne soyez sûr qu’ils veulent les entendre.
3. Lorsqu’on est chez quelqu’un, montrez-lui du respect ou ne vous y rendez pas.
4. Si un invité dans votre demeure vous ennuie, traitez-le avec cruauté et sans pitié.
5. Ne faites pas d’avances sexuelles à moins que vous n’ayez reçu des signaux d’accouplement.
6. Ne prenez pas ce qui ne vous appartient pas, à moins que cela ne soit un fardeau pour l’autre personne et qu’il ou elle en réclame délivrance.
7. Reconnaissez la puissance de la magie si vous l’avez utilisée avec succès pour obtenir vos désirs. Si vous niez la puissance de la magie après l’avoir utilisée avec succès, vous perdrez tout ce que vous avez obtenu.
8. Ne vous plaignez pas de quelque chose à laquelle vous n’avez pas besoin de vous exposer.
9. Ne faites pas de mal aux jeunes enfants.
10. Ne tuez pas d’animaux, sauf pour vous nourrir ou pour vous défendre.
11. Lorsque vous marchez en terrain ouvert, ne dérangez personne. Si quelqu’un vous dérange, demandez-lui d’arrêter. S’il ne le fait pas, détruisez-le.

Ces règles reflètent l’éthique individualiste et parfois provocatrice du satanisme laveyen, qui se distingue nettement du satanisme tel qu’il est souvent compris dans un sens chrétien ou populaire. Le satanisme laveyen n’implique pas le culte d’une entité nommée Satan, mais plutôt l’exaltation de soi-même et le rejet des dogmes religieux traditionnels.

Plus concrètement, ces Onze Règles du Satanisme d’Anton LaVey et les dix Commandements bibliques sont fondamentalement opposés sur plusieurs aspects, principalement en raison des différences entre les philosophies qu’ils représentent.
Les Dix Commandements, issus de la tradition judéo-chrétienne, prônent la moralité, l’humilité, et la relation avec Dieu et les autres, tandis que les règles du satanisme laveyen prônent l’individualisme, la satisfaction personnelle, et le rejet de la morale religieuse traditionnelle.
Voici une comparaison entre les deux:

1. Dieu contre l’individualisme:
– Premier Commandement (Bible): «Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face.»
– Règle satanique:
Le satanisme laveyen place l’individu au centre, rejetant l’adoration de tout être supérieur, ce qui entre directement en conflit avec l’idée d’un Dieu unique qui doit être vénéré.

2. Humilité contre la fierté:
– Dixième Commandement (Bible): «Tu ne convoiteras pas…»
– Règle satanique:
L’individualisme et la fierté personnelle sont valorisés, ce qui va à l’encontre de l’humilité et du contentement que le dixième commandement prône.

3. Respect des autres contre vengeance personnelle:
– Sixième Commandement (Bible): «Tu ne tueras point.»
– Règle satanique 11: «…Si quelqu’un vous dérange, demandez-lui d’arrêter. S’il ne le fait pas, détruisez-le.»
Cette règle encourage la vengeance personnelle, en contradiction directe avec l’interdiction du meurtre et la promotion du pardon dans le christianisme.

4. Fidélité et morale sexuelle contre satisfaction personnelle:
– Septième Commandement (Bible): «Tu ne commettras point d’adultère.»
– Règle satanique 5: «Ne faites pas d’avances sexuelles à moins que vous n’ayez reçu des signaux d’accouplement.»
La règle satanique met l’accent sur la satisfaction sexuelle personnelle avec consentement, mais ne soutient pas les notions de fidélité et de morale sexuelle stricte que le christianisme promeut.

5. Respect des autres contre intérêt personnel:
– Cinquième Commandement (Bible): «Honore ton père et ta mère.»
– Règle satanique 3 et 4:
Le respect n’est dû qu’à ceux qui le méritent selon le satanisme, alors que la Bible commande un respect inconditionnel envers ses parents.

6. Honnêteté contre manipulation:
– Huitième Commandement (Bible): «Tu ne voleras point.»
et Neuvième Commandement(Bible): «Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.»
– Règle satanique 6:
Le satanisme autorise la prise de ce qui peut être utile si c’est un « fardeau » pour quelqu’un d’autre, ce qui pourrait être vu comme une justification du vol ou de la manipulation.

7. Bienveillance contre égoïsme:
– Deuxième Commandement (Bible): «Tu ne feras point d’image taillée…»
et Quatrième Commandement(Bible): «Souviens-toi du jour du repos…»
– Règle satanique 8:
Le satanisme laveyen favorise l’égoïsme, l’accent étant mis sur le bien-être personnel plutôt que sur l’adoration de Dieu ou la bienveillance envers les autres.

En somme, les Onze Règles du Satanisme de LaVey offensent les Dix Commandements principalement parce qu’elles promeuvent une philosophie qui valorise l’individualisme, l’égoïsme, et le rejet des principes religieux traditionnels. Le christianisme, à travers les Dix Commandements, prône une vie centrée sur Dieu, la communauté, la moralité, et l’humilité. Le contraste fondamental est donc entre l’altruisme religieux et l’individualisme extrême.

Quel est le rapport entre le rejet de la résurrection de Jésus-Christ et le chiffre 666 ?

Le chiffre 666, souvent appelé « le nombre de la bête, » est mentionné dans le livre de l’Apocalypse (ou Révélation) dans le Nouveau Testament de la Bible. Il a suscité de nombreuses interprétations et spéculations au fil des siècles, et il est souvent associé à l’antéchrist.
Or, l’Esprit de l’Antéchrist fait référence à toute doctrine, philosophie, ou influence qui nie que Jésus est le Christ et qui s’oppose à l’enseignement de l’Évangile. Jean en parle dans ses épîtres en disant que « beaucoup d’antéchrists sont déjà venus »(1 Jean 2:18).
Cet esprit agit dans le monde pour tromper et égarer les croyants, souvent en les séduisant avec des enseignements qui dénaturent la vérité de l’Évangile.

1. Le Contexte Biblique du Chiffre 666
Le chiffre 666 apparaît spécifiquement dans Apocalypse 13:18: « C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. » Ce passage est souvent interprété comme une description symbolique de l’antéchrist ou d’un pouvoir opposé à Dieu et à Jésus-Christ. Dans le contexte de l’Apocalypse, la bête est vue comme une figure ou une force qui s’oppose au Christ et à son règne.

2. Symbolisme du Chiffre 666
Le chiffre 666 est symbolique et a été interprété de plusieurs manières au fil du temps:
– Imparfait ou Incomplet: Le chiffre 7 est souvent associé à la perfection ou à la complétude divine dans la Bible (par exemple, la création du monde en sept jours). Le chiffre 6, étant juste en dessous de 7, peut symboliser l’imperfection ou l’incomplétude. Le triple 6 pourrait donc représenter une forme d’imperfection ultime ou de faillite spirituelle complète, en opposition à la perfection divine.
– Numérologie et Noms: Certaines interprétations historiques suggèrent que 666 pourrait être un code numérologique pour désigner une figure spécifique. Par exemple, dans le système de gématria (où les lettres sont attribuées à des chiffres), certains croient que 666 pourrait correspondre à un nom particulier, comme « Néron César, » un empereur romain persécuteur des chrétiens.

3. Rejet de la Résurrection et 666
Le lien entre le rejet de la résurrection de Jésus-Christ et le chiffre 666 n’est pas explicitement mentionné dans la Bible, mais il peut être interprété symboliquement dans certains contextes théologiques:
– Opposition au Christ: La résurrection de Jésus-Christ est au cœur de la foi chrétienne. Rejeter la résurrection, c’est rejeter l’essence même du christianisme et du message de salut. Dans ce sens, toute force, idéologie ou personne qui s’oppose à la résurrection peut être perçue comme antichristique. Le chiffre 666, représentant l’antéchrist ou les forces qui s’opposent à Dieu, pourrait être symboliquement lié à ce rejet.
– Symbolisme Apocalyptique: Dans une perspective apocalyptique, le rejet de la résurrection pourrait être vu comme une caractéristique des forces du mal ou de l’antéchrist représentées par le chiffre 666. Dans ce contexte, le rejet de la résurrection est une manifestation du pouvoir du mal qui cherche à détourner les croyants de la vérité chrétienne.
– Théories Conspiratoires: Certains groupes ou individus peuvent associer le chiffre 666 à des théories conspirationnistes modernes où ils voient des signes de l’antéchrist ou du rejet du christianisme dans des événements ou des mouvements contemporains. Ces interprétations, bien qu’elles soient spéculatives, peuvent alimenter des croyances sur une opposition globale au christianisme, parfois liée au rejet de la résurrection.

4.Interprétations et Applications Modernes
De nos jours, le chiffre 666 est souvent utilisé dans la culture populaire et dans diverses théories du complot comme symbole de rébellion contre Dieu ou d’alignement avec des forces maléfiques. Cependant, ces interprétations sont souvent plus culturelles que théologiques et peuvent varier grandement en fonction des croyances individuelles et des contextes sociaux.

Conclusion
Le chiffre 666 est traditionnellement associé à l’antéchrist ou à des forces opposées à Dieu, telles que décrites dans le livre de l’Apocalypse. Le rejet de la résurrection de Jésus peut être vu comme une opposition directe à la foi chrétienne, et dans une perspective théologique ou symbolique, cela peut être lié à l’idée des forces du mal représentées par le chiffre 666. Cependant, cette association est plus symbolique et théologique qu’explicitement mentionnée dans les textes bibliques.

Apôtre Jean-Claude SINDAYIGAYA

JESUS ​​CHRIST IS NOT A WAY

If I say that Jesus is a way, Muslims would say that Muhammad is also a way, and Buddhists would say that Buddha is also a way and anyone could invent a way.

And yet, Jesus Christ is not a way among so many other ways, HE IS THE WAY, the only one in fact.

There are those who say that all ways lead to Rome. But this is not the case with God, not all ways lead to God. The only way that leads to God is Jesus Christ.
Jesus Christ says it well himself:
« I am the way and the truth and the life. No one comes to the Father except through me. »(John 14:6)

If Muhammad and Buddha are ways, neither of them dared or can dare to say that he is the life and the truth.
It is Jesus Christ who is the only way to our heavenly Father, for He is the Truth and the Life.
No one can come to the Father except through Jesus Christ.

PRAYER:
O Lord our God, help us to remain steadfast in the faith that Jesus Christ is the only way to you.
It is in the precious name of your Son Jesus Christ himself that we pray, Amen.

Apostle Jean-Claude SINDAYIGAYA

JÉSUS-CHRIST N’EST PAS UN CHEMIN

Si je dis que Jésus est un chemin, les musulmans diraient que Mahomet est aussi un chemin, et les bouddhistes diraient que Bouddha est aussi un chemin et n’importe qui pourrait inventer un chemin.

Et pourtant, Jésus-Christ n’est pas un chemin parmi tant d’autres chemins, IL EST LE CHEMIN, l’unique d’ailleurs.

Il y en a qui disent que tous les chemins mènent à Rome. Mais ce n’est pas le cas de Dieu, tous les chemins ne mènent pas à Dieu. Le seul chemin qui mène à Dieu, c’est Jésus-Christ.
Jésus-Christ le dit bien lui-même:
« Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. »(Jean 14:6)

Si Mahomet et Bouddha sont des chemins, aucun d’eux n’a osé ou ne peut oser dire qu’il est la vie et la vérité.
C’est Jésus-Christ qui est le chemin unique qui nous mène à notre Père céleste, car Il est la Vérité et la Vie.
Nul ne peut arriver au Père que par Jésus-Christ.

PRIÈRE:
Éternel notre Dieu, aidez-nous à rester fermes dans la foi que Jésus-Christ est le seul chemin qui mène à vous.
C’est dans le nom précieux de votre fils Jésus-Christ même que nous prions, Amen.

Apôtre Jean-Claude SINDAYIGAYA

YEZU KRISTO NTABWO ARI INZIRA MU ZINDI

Niba mvuze ko Yesu ari inzira igera kwa Data, Abayisilamu nabo bavuga ko na Muhamadi ari inzira, naho Ababuda nabo bakavuga ko Buda nawe ari inzira kandi n’umuntu wese yashobora kwihimbira inzira.

Nyamara, Yesu Kristo ntabwo ari inzira mu zindi nzira nyinshi, ahubwo *NIWE NZIRA*, imwe rukumbi muby’ukuri.

Hari abavuga ngo inzira zose ziragera i Roma. Ariko ntabwo ariko biri ku Mana, inzira zose ntabwo zigera ku Mana, inzira igerayo ni YESU KRISTO gusa.
Yesu Kristo arabyivugira neza:
« Ni jye nzira n’ukuri n’ubugingo: nta wujya kwa Data ntamujyanye. »(Yohana 14:6)

Niba Muhammad na Buda ari inzira, n’abandi bose bashobora guhimba inzira zabo, nta n’umwe watinyutse cyangwe watinyuka kuvuga ko ariwe Buzima n’Ukuri.
Yesu Kristo niwe nzira yonyine ibaho itugeza kwa Data wa twese uri mu ijuru, kuko ari Ukuri n’Ubuzima.
Ntawagera kwa Data usibye binyuze muri Yesu Kristo.

ISENGESHO:
Uwiteka Mwami Imana yacu, dushoboze gushikama mu kwizera kwacu ko ata indi nzira ibaho yakutugezaho usibye binyuze muri Yesu Kristo.
Ni mu izina ry’agaciro ry’umwana wawe Yesu Kristo nyine tubisabye, Amen.

Intumwa y’Imana Jean-Claude SINDAYIGAYA

YEZU KRISTO S’INZIRA MU ZINDI

Mvuze ko Yesu Kristo ari inzira ishika kwa Data, Abayisilamu nabo bashobora guca bavuga ko Muhamadi nawe ari inzira, Ababuda nabo bakavuga ko Buda nawe ari inzira nk’uko n’umuntu awariwe wese yoshobora kuvuga ko azi iyindi nzira itandukanye n’izo zavuzwe.

Yamara, Yesu Kristo s’inzira mu zindi nzira nyinshi, ahubwo NIWE NZIRA, imwe rudende muvy’ukuri.

Hari abavuga ngo inzira zose zirashika i Roma. Ariko siko bimeze ku Mana, inzira zose ntizishika ku Mana, inzira ishikanayo ni YESU KRISTO gusa.
Yesu Kristo aravyivugira neza:
« Ni jewe nzira n’ukuri n’ubugingo: nta wushika kuri Data ntamujanye. »(Yohana 14:6)

Nimba Muhamadi na Buda ari inzira, n’abandi bose kakaba bashobora kwironderera inzira zabo, nta n’umwe yubahutse canke arubahuka kuvuga ko ariwe Buzima n’Ukuri.
Yesu Kristo niwe nzira yonyene ibaho idushikana kwa Dawe wa twese ari mw’ijuru kuko atawoshika kuri We, atari Yesu Kristo amujanye.

IGISABISHO:
Uhoraho Mwami Mana yacu, duhe gushikama mu kwemera no mu kwizera kwacu ko ata yindi nzira ibaho yokudushikanako atari Yesu Kristo.
Ni mw’izina ridasanzwe ry’umwana wawe Yesu Kristo nyene tubisavye, Amen.

Intumwa y’Imana Jean-Claude SINDAYIGAYA

EN-HAKKORÉ (« `Eyn haq-Qowre' »)

Exhausted and thirsty after having conquered and killed a thousand Philistines among those who wanted to harm him in Lechi, Samson called on the Lord, and said: « Thou hast given this very great deliverance and victory into the hand of thy servant: and behold I die for thirst, and shall fall into the hands of the uncircumcised. »(Judges 15:18)

It was then that God came to his aid, opened a great tooth in the jaw of the ass and waters issued out of it.
« And when he had drunk them, he refreshed his spirit, and recovered his strength. Therefore the name of that place was called En-Hakkoré, The Spring of him that invoked from the jawbone, until this present day. »(Judges 15:19)

Today, our En-Hakkoré is Jesus.

Jesus himself tells us that he is that source of living water that quenches our spiritual thirst.
« The water that I will give him shall become in him a fountain of water, springing up into life everlasting. »(John 4:14 )

When we are exhausted, discouraged, spiritually weakened or overwhelmed by events, let’s go directly to Jesus, to refresh and recover us.

PRAYER:
Lord Jesus, always revive us when we are spiritually weakened.
It is in your precious name that we pray, Amen.

Apostle Jean-Claude SINDAYIGAYA

EN-HAKKORÉ

Épuisé et assoiffé après avoir vaincu et tué mille Philistins parmi ceux voulaient lui faire du mal à Léchi, Samson invoqua l’Éternel, et dit: « C’est toi qui a permis par la main de ton serviteur cette grande délivrance; et maintenant mourrais je de soif, et tomberais-je entre les mains des incirconcis? »(Juges 15:18)

C’est alors que Dieu vint à son secours, fendit la cavité du rocher qui est à Léchi, et il en sortit de l’eau.
« Samson but, son esprit se ranima, et il reprit vie. C’est de là qu’on a appelé cette source En Hakkoré; elle existe encore aujourd’hui à Léchi. »(Juges 15:19)

Aujourd’hui, notre En-Hakkoré, c’est Jésus.

Jésus lui-même nous dit qu’il est cette source d’eau vive qui étanche notre soif spirituelle.
« Celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. »(Jean 4:14)

Lorsque nous sommes épuisés, découragés, affaiblis spirituellement ou dépassés par les évènements, allons directement auprès de Jésus, pour nous ranimer.

PRIÈRE:
Seigneur Jésus, ranime-nous toujours lorsque nous sommes spirituellement affaiblis.
C’est dans ton nom précieux que nous prions, Amen.

Apôtre Jean-Claude SINDAYIGAYA

EN-HAKKORÉ (« `Eyn haq-Qowre' »)

Igihe yari yaguye umwuma cyane, kandi afite n’umunaniro nyuma yo gutsinda no kwica Abafilisitiya igihumbi mu bashakaga kumugirira nabi i Leki, Samusoni yaratakambiye Uwiteka, maze aramubwira ati: « Wadukirishije ukuboko k’umugaragu wawe, none inyota iranyica ngwe mu maboko y’abatakebwe? »(Abacamanza 15:18)

Nibwo Imana yaje kumutabara, ifukura iriba i Lehi amazi aradudubiza, « nuko amaze kunywa umutima usubira mu nda, arahembuka. Ni cyo cyatumye hahimbwa Enihakore, hari Lehi na bugingo n’ubu. »(Abacamanza 15:19)

Uyu munsi, Enihakore (En-Hakkoré) yacu ni Yesu.

Yesu ubwe aratubwira ko ariwe soko y’amazi y’ubugingo amara inyota yo mu mutima.
« Unywa amazi nzamuha ntazagira inyota rwose iteka ryose, ahubwo amazi nzamuha azamuhindukiramo isoko y’amazi adudubiza kugeza mu bugingo buhoraho. »(Yohana 4:14)

Iyo twumva tunaniwe, ducitse intege, twumva twihebye cyangwa twarengewe n’ibyabaye, tugomba kujya kuri Yesu, kugirango adusubizemo imbaraga, aduhembure, kandi umutima usubire munda.

ISENGESHO:
Mwami Yesu, uzahore udusubizamo imbaraga mu gihe tuzaba ducitse intege mu by’umwuka.
Mu izina ryawe ry’agaciro niho dusenga, Amen.

Intumwa y’Imana Jean-Claude SINDAYIGAYA

EN-HAKKORÉ (« `Eyn haq-Qowre' »)

Igihe yari yaguye umwumwa cane, kandi arushe, inyuma y’aho atsindiye akica Abafilisitiya igihumbi mu bashaka kumugirira nabi i Leki, Samusoni yaratakambiye Uhoraho, maze aramubwira ati: « Uhoraho, ati Jewe umusavyi wawe ko wampaye uku kunesha gukomeye, none nicwe n’inyota, ngwe mu maboko y’abatakebge? »(Abacamanza 15:18)

Niho rero Imana yaciye iza kumutabara, ikinogo car’i Lehi Imana iragisatura, amazi aradudubiza, « nukw amaze kunywa, udutege turagaruka, arahembuka. Ni co catumye bacita Eni-hakore i: kiracar’ i Lehi na bugingo n’ubu. » (Abacamanza 15:19)

Uyu munsi, Eni-hakore (En-Hakkoré) yacu ni Yesu.

Yesu ubwiwe aratubwira ko ariwe soko y’amazi y’ubuzima amara inyota yo mu mutima.
« Unywa amazi nzomuha, ntazoba akigira inyota na mba gushitsa ibihe vyose, arikw amazi nzomuha azohinduka muri we imbizi y’amazi yiburuka azana ubugingo budashira. »(Yohana 4:14)

Iyo twumva tunaniwe, ducitse intege, twumva twihebuye canke tubona twarengewe n’ivyabaye, dukwiriye kwikutira kuja kuri Yesu, kugira ngo adusubizemo inkomezi, aduhembure, kandi umutima usubire munda.

IGISABISHO:
Mwami Yesu, turagusavye uze uhore udusubizamwo inkomezi mu gihe cose tuzoba ducitse intege mu buryo bw’impwemu.
Mw’izina ryawe ridasanzwe niho tubisavye, Amen.

Intumwa y’Imana Jean-Claude SINDAYIGAYA

THE POWER OF THE WORD

According to the Bible, God created the universe by His word.
In the book of Genesis, it says: « And God said, ‘Let there be light!’ And there was light. »(Genesis 1:3)
This shows that the divine word has the power to create and manifest reality.

During all the years that He was silent, the earth was empty and formless.
But when He (God) opened His mouth and said « Let there be light », there was light.

Jesus Christ Himself performed miracles through His word.
In the Gospel of Matthew, a centurion asks Jesus to heal his sick servant. Jesus tells him that He will come to his house, but the centurion replies that Jesus only needs to speak a word for his servant to be healed. Jesus admires his faith and says, « Go! Let it be done just as you believed it would. » And at that very hour the servant was healed (Matthew 8:5-13).
To calm the storm while he was in a boat with his disciples, Jesus Christ said a word: « Quiet! Be still! » And immediately the wind died down, and there was a great calm (Mark 4:35-41).
To resurrect Lazarus, Jesus Christ cried out in a loud voice, « Lazarus, come out! » And the dead man came forth, bound hand and foot with linen cloths, and wrapped in a winding sheet (John 11:38-44).
When healing the paralyzed man, Jesus simply said, « Get up, take your mat and go home. » And immediately the man got up, took up his bed, and went gone.(Matthew 9:1-8)
When healing the dying son of a royal official, Jesus said to his father, « Go, your son will live. » And this man having believed the word of Jesus later learned that his son was healed at the very hour that Jesus spoke (John 4:46-53).
These examples illustrate that Jesus exercised his divine power through his word, performing miracles that demonstrated his sovereignty over sickness, the natural elements, and even death. The word of Jesus is thus seen as carrying divine authority, capable of transforming reality in an immediate and powerful way.

Jesus teaches that words spoken in faith have immense power:
« Truly I tell you, if anyone says to this mountain, ‘Go, throw yourself into the sea,’ and does not doubt in their heart but believes that what they say will happen, it will be done for them. »(Mark 11:23)
This shows that the word, when accompanied by faith, can do extraordinary things.

Are we then aware that our word accompanied by faith is so powerful?
Yes, because, we are children of God, all power has been given to us.
When we then have problems and we do not learn to speak to them, these problems persist.
If we are not aware of this, we cannot dare to lay hands on the sick so that they will be healed.
And when we ourselves become sick, we cannot dare to open our mouths to drive out the disease with a word full of faith.
Oddly enough, we only open our mouths to call for a doctor or to cry for help.

Facing Goliath, David opened his mouth and said to him: « You come against me with sword and spear and javelin, but I come against you in the name of the LORD Almighty, the God of the armies of Israel, whom you have defied. This day the LORD will deliver you into my hands, and I’ll strike you down and cut off your head… »(1 Samuel 17:45-47)
Goliath died because David said that he must die.

Every demon in our body, every disease in our body, every pain in our marriage, when we start speaking to it, it starts dying.

The Bible says that our weapons of war are not carnal, they are mighty through God to overthrow the strongholds of the enemy.
« For though we live in the world, we do not wage war as the world does. The weapons we fight with are not the weapons of the world. On the contrary, they have divine power to demolish strongholds. We demolish arguments and every pretension that sets itself up against the knowledge of God, and we take captive every thought to make it obedient to Christ. »(2 Corinthians 10:3-5)

Let us then cling to GOD, cling to trust, cling to our faith in Jesus Christ, and, full of faith, say with our mouth:
Goliath falls, our Goliath falls,
Cancer falls, tobacco addiction falls, blinded mind falls, infirmity falls, deafness falls, AIDS falls…
Every disease falls, every sin falls, in the precious name of our Lord Jesus Christ.

PRAYER:
Lord our God, grant us to be aware of the power of all our words accompanied by faith.
It is in the precious name of your son Jesus Christ that we pray, Amen.

Apostle Jean-Claude SINDAYIGAYA