MU BUTAYU BWA BERISHEBA

Hagari n’umuhungu we Ishimayeli bisanze mu butayu bwa Berisheba nyuma yo kwirukanwa na Aburahamu.
Barabuze amazi, kugera n’aho Ishimayeli yari agiye gupfa yishwe n’inyota.
Noneho, Hagari aragenda yicara amwerekeye, amuhaye intera nk’aho umuntu yarasa umwambi, kuko yibwiraga ati “Ne kureba umwana wanjye apfa.” Yicara amwerekeye atera hejuru ararira.

Akigenda kugira ngo atabona umuhungu we apfa, umumarayika w’Imana aramuhamagara amubwira ko Imana yumvise ijwi ry’umwana.

Hanyuma, * »Imana imuhumura amaso, abona iriba, aragenda avoma amazi yuzuye ya mvumba, ayaramiza umuhungu we. »*(Intangiriro 21:19) Nguko uko ubuzima bwabo bwarokotse.

Iyi nkuru uko yanditswe, ntisobanura neza niba iriba ryavumbuwe na Hagari ryarigeze kubaho cyangwa niba ryarakozwe mu buryo bw’igitangaza n’Imana muri ako kanya. Iki gice kivuga gusa uburyo Hagari, amaze kuzerera mu butayu hamwe n’umuhungu we Ishmael, yisanze adafite amazi kandi yihebye, ababajwe n’uko umuhungu we agiye gupfa.
Nibwo Imana yumva ijwi ry’umwana ikohereza umumarayika guhumuriza Hagari no guhumura amaso ku iriba ry’amazi.

Niba iryo riba ryavumbuwe na Hagari ryarigeze kubaho ariko Hagari atari yaribonye, noneho akiheba kugeza igihe Imana imuyoboye ikarimwereka, ni isomo n’ikimenyetso cyerekana ko *mu gihe cy’ibibazo, Imana ishobora guhumura amaso yacu, igakangura ubwenge bwacu n’ibitekerezo byacu kugira ngo, kuri twe ubwacu, tuvumbure ibisubizo bisanzwe biriho hafi yacu, n’inzira zo kubisohokamo neza.*

Niba kandi iri riba ryarakozwe mu buryo bw’igitangaza n’Imana muri kiriya gihe nyacyo cyo gukiza Hagari na Ishimayeli, nabyo, ni isomo n’ikimenyetso kigaragaza ko *mu gihe dusanze duhuye n’ibibazo bitadushobokera, Imana ishobora gutabara mu buryo bw’igitangaza kugira ngo idukize.*

Ibyo ari byo byose, iki gice kiratwigisha ko abo muri iki gihe bihebye nka Hagari mu butayu bwa Berisheba, bafite uburenganzira bwo kwizera no kwiringira Imana, kuko ari Inyembabazi kandi idashobora na rimwe kudutererana igihe abandi badutereranye bakatwirukana.

ISENGESHO:
Mwami Mana yacu, duhe kutazigera dutakaza kwizera muri wowe no kwiheba mu gihe turi mu bibazo.
Ni mu izina ry’agaciro ry’umwana wawe Yesu Kristo tubisabye, Amen.

Intumwa y’Imana Jean-Claude SINDAYIGAYA

IN THE DESERT OF BEERSHEBA

Hagar and her son Ishmael find themselves in the desert of Beersheba after being chased away by Abraham.
They are short of water, and Hagar is desperate for her son’s life.
As she is leaving so as not to see her son die, an angel of God calls her and tells her that God has heard the child’s voice.

Then, « God opened her eyes and she saw a well of water. So she went and filled the skin with water and gave the boy a drink. »(Genesis 21:19) Thus their lives were saved.

The text does not explicitly say whether the well discovered by Hagar already existed or whether it was miraculously created by God at that precise moment. This passage only tells how Hagar, after wandering in the desert with her son Ishmael, finds herself without water and in despair, mourning the imminent death of her son.
It is then that God hears the voice of the child and sends an angel to comfort Hagar and open her eyes to a well of water. If the well discovered by Hagar already existed but Hagar simply did not notice it in her despair until God guided her to it, it is a lesson and proof that in times of crisis, God can open our eyes, awaken our intelligence and our attention so that, to ourselves, we discover the solutions that already exist around us and the ways out.

And if this well was miraculously created by God at that precise moment to save Hagar and Ishmael, it is also a lesson and proof that in the event that we find ourselves faced with the impossible, God can intervene in a miraculous way to save us.

In any case, this passage teaches us that those who are today desperate like Hagar in the desert of Beersheba, have the right to believe and trust in God, because He is merciful and can never abandon us when others abandon and drive us away.

PRAYER:
Lord our God, grant that we may never lose faith in you and despair when we are in crisis.
It is in the precious name of your son Jesus Christ that we pray, Amen.

Apostle Jean-Claude SINDAYIGAYA

DANS LE DÉSERT DE BEER-SHÉBA

Agar et son fils Ismaël se retrouvent dans le désert de Beer-Shéba après avoir été chassés par Abraham.
Ils manquent d’eau, et Agar désespère pour la vie de son fils.
Alors qu’elle s’éloigne pour ne pas voir son fils mourir, un ange de Dieu l’appelle et lui dit que Dieu a entendu la voix de l’enfant.

Puis, « Dieu lui ouvrit les yeux, et elle vit un puits d’eau; elle alla remplir d’eau l’outre, et donna à boire à l’enfant. »(Genèse 21:19) Ainsi leur vie fut sauvé.

Le texte ne dit pas explicitement si le puits découvert par Agar existait déjà ou s’il a été créé de manière miraculeuse par Dieu à ce moment précis.
Ce passage raconte seulement comment Agar, après avoir erré dans le désert avec son fils Ismaël, se retrouve sans eau et désespérée, pleurant la mort imminente de son fils. C’est alors que Dieu entend la voix de l’enfant et envoie un ange pour consoler Agar et lui ouvrir les yeux sur un puits d’eau.

Si le puits découvert par Agar existait déjà mais qu’Agar ne l’avait tout simplement pas remarqué dans son désespoir jusqu’à ce que Dieu la guide vers lui, c’est une leçon et une preuve que dans les moments de crise, Dieu peut ouvrir nos yeux, eveiller notre intelligence et notre attention pour que, à nous-mêmes, nous decouvrions les solutions qui existent déjà autour de nous et les voies de sortie.

Et si ce puits a été créé de manière miraculeuse par Dieu à ce moment précis pour sauver pour sauver Agar et Ismaël, c’est aussi une leçon et une preuve que dans le cas où nous nous retrouvons en face de l’impossible, Dieu peut intervenir d’une manière miraculeuse pour nous sauver.

De toutes les facons, ce passage nous apprend que ceux qui sont aujourd’hui désespérés comme Agar dans le désert de Beer-Shéba, sont en droit de croire et de faire confiance en Dieu, parce qu’Il est miséricordieux et ne peut jamais nous abandonner lorsque les autres nous abandonnent et nous chassent.

PRIÈRE:
Éternel notre Dieu, donnez-nous de ne jamais perdre confiance en vous et désespérer lorsque nous traversons des situations de crise.
C’est dans le nom précieux de votre fils Jésus-Christ que nous prions, Amen.

Apôtre Jean-Claude SINDAYIGAYA

ÊTRE UN ENFANT DE DIEU

Saviez-vous que DIEU a toujours voulu avoir une famille et faire de nous ses enfants?

En effet, Dieu nous avait « prédestinés dans son amour à être ses enfants d’adoption par Jésus Christ, selon le bon plaisir de sa volonté. »(Ephésiens 1:5)

Effectivement, Dieu a donné Jésus-Christ pour que par lui, nous devenions ses enfants.
La Bible dit que:
« À tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. »(Jean 1:12-13)

Ces versets soulignent l’idée fondamentale du christianisme selon laquelle la foi en Jésus-Christ permet de devenir enfant de Dieu.
« Recevoir » ici signifie accepter Jésus-Christ et son message.
« Croire en son nom » renvoie à la reconnaissance de l’autorité, du caractère et de la divinité de Jésus.
En croyant en lui, les individus reçoivent le « pouvoir » ou le « droit » de devenir enfants de Dieu, ce qui implique une relation intime avec Dieu, fondée sur la foi.

Ces versets mettent en avant la grâce de Dieu qui offre cette adoption spirituelle à tous ceux qui croient, et non sur la base de mérites personnels, mais sur la foi en Jésus.

I. Recevoir Jésus-Christ et Croire en son nom:
Recevoir Jésus-Christ et croire en son nom sont deux choses/réalités différentes.

Comment reçoit-on Jésus-Christ ?
Recevoir Jésus-Christ, selon la perspective chrétienne, implique plusieurs étapes spirituelles et personnelles.
Voici les principales étapes qui sont souvent mentionnées:

1. Reconnaissance de son besoin de salut:
C’est reconnaître que, en tant qu’être humain, on est séparé de Dieu par le péché et que l’on a besoin d’un Sauveur.

2. Croire en Jésus-Christ:
Cela signifie avoir foi en Jésus en tant que Fils de Dieu, croire qu’il est mort pour nos péchés, qu’il est ressuscité, et qu’il offre le pardon et la vie éternelle à ceux qui croient en lui.

3. Repentance:
Se repentir signifie se détourner du péché et choisir de suivre Jésus. C’est une décision de changer de vie, de se tourner vers Dieu et de renoncer aux comportements contraires à sa volonté.

4. Confession de foi:
La confession publique ou personnelle que Jésus est Seigneur. Cela peut être exprimé par la prière, où l’on demande à Jésus de venir dans sa vie, de pardonner ses péchés, et de devenir le Seigneur et Sauveur de sa vie.
Voici un exemple de prière que beaucoup utilisent pour recevoir Jésus-Christ:
« Seigneur Jésus, je reconnais que je suis un pécheur et que j’ai besoin de ton pardon. Je crois que tu es mort pour mes péchés et que tu es ressuscité des morts.
Je t’invite à entrer dans ma vie et à être mon Sauveur et Seigneur.
Je veux te suivre et vivre pour toi.
Merci de m’avoir donné le droit de devenir enfant de Dieu. Amen. »

5. Engagement à suivre Jésus:
Recevoir Jésus-Christ implique aussi un engagement à le suivre, à vivre selon ses enseignements et à chercher à grandir dans la foi à travers la lecture de la Bible, la prière, et la communion avec d’autres croyants.
Recevoir Jésus-Christ est donc un acte de foi, un choix de cœur, qui marque le début d’une nouvelle relation avec Dieu.

Comment croit-on en le nom de Jésus-Christ ?
Croire en le nom de Jésus-Christ signifie avoir foi en son identité, en sa personne, et en tout ce qu’il représente selon les enseignements chrétiens.
Voici quelques éléments clés pour comprendre ce que cela implique :

1. Reconnaître son identité divine:
Croire en le nom de Jésus-Christ, c’est d’abord reconnaître que Jésus est le Fils de Dieu, envoyé pour sauver l’humanité. Cela implique de croire en sa divinité, qu’il est Dieu incarné, venu sur terre pour accomplir la volonté de Dieu.

2. Faire confiance à son œuvre rédemptrice:
Croire en son nom signifie avoir foi en son sacrifice sur la croix pour le pardon des péchés. Cela inclut la croyance que sa mort et sa résurrection sont suffisantes pour offrir le salut à quiconque croit en lui.

3. Accepter son autorité:
Le nom de Jésus représente également son autorité. Croire en son nom signifie accepter Jésus comme Seigneur, c’est-à-dire reconnaître son autorité sur sa vie et s’engager à suivre ses enseignements.

4. S’identifier à lui:
Croire en le nom de Jésus, c’est aussi s’identifier à lui, se considérer comme un disciple de Christ, *appartenant à sa famille spirituelle*. Cela inclut une transformation intérieure où la vie du croyant est alignée sur les valeurs et les principes de Jésus.

5. Espérer en ses promesses:
Cela signifie aussi avoir confiance en ses promesses, comme le pardon des péchés, la vie éternelle, et la présence constante de Dieu dans la vie du croyant.

En résumé, croire en le nom de Jésus-Christ, c’est placer sa confiance en lui, non seulement comme Sauveur, mais aussi comme Seigneur, et s’engager à vivre une vie conforme à sa volonté. Cette foi se manifeste par une relation personnelle avec Jésus, par l’obéissance à ses enseignements, et par l’espérance en sa promesse de vie éternelle.

II.Avoir le pouvoir de devenir enfants de Dieu
Avoir le pouvoir de devenir enfants de Dieu c’est avoir le droit de devenir enfants de Dieu, mais c’est de loin different de devenir enfants de Dieu.
On acquiert le droit de devenir enfants de Dieu mais on ne devient pas d’office enfants de Dieu.
Le verset indique que ceux qui reçoivent Jésus et croient en son nom obtiennent le « pouvoir » ou le « droit » de devenir enfants de Dieu, mais cela ne signifie pas nécessairement qu’ils le sont automatiquement sans aucune transformation ou engagement ultérieur.
Voici comment on peut comprendre cette distinction:

1. Le droit ou le pouvoir de devenir enfant de Dieu:
Lorsque quelqu’un reçoit Jésus-Christ et croit en son nom, il reçoit le droit légal et spirituel d’être adopté dans la famille de Dieu. Cela signifie qu’une porte s’ouvre, une opportunité est donnée. Ce « droit » est un don de Dieu, basé sur la grâce, et non sur les œuvres humaines.

2. La réalisation de cette filiation:
Devenir véritablement enfant de Dieu implique une transformation intérieure qui se produit au fur et à mesure que la personne grandit dans sa foi.
Ce processus, souvent appelé sanctification, est un cheminement où le croyant apprend à vivre selon les valeurs et les enseignements de Jésus-Christ, développant une relation profonde et continue avec Dieu.

3. L’activation de ce droit:
Bien que le droit soit acquis par la foi en Jésus, il doit être activé ou manifesté dans la vie du croyant à travers une véritable conversion, un engagement à suivre Jésus, et une transformation progressive par l’Esprit Saint. C’est dans cette marche avec Christ que la personne « devient » réellement enfant de Dieu, non seulement en droit, mais en expérience et en réalité quotidienne.

4. La responsabilité personnelle:
Recevoir le droit de devenir enfant de Dieu implique aussi une responsabilité personnelle de vivre selon cette nouvelle identité. Cela inclut la repentance, l’obéissance à Dieu, et la recherche de sa volonté dans la vie de tous les jours.
En somme, recevoir le pouvoir de devenir enfant de Dieu est une entrée dans une nouvelle relation avec Dieu, mais cette relation doit être vécue et développée pour que la pleine réalité de cette filiation se manifeste dans la vie du croyant.
Le droit est donné immédiatement par la foi, mais la vie en tant qu’enfant de Dieu se construit dans une relation continue avec Dieu.

III.Qu’est ce qui différencie sincèrement et substantiellement un enfant de Dieu d’une autre personne ?
La différence substantielle entre un enfant de Dieu et une autre personne, selon la perspective chrétienne, repose sur plusieurs aspects clés liés à la transformation intérieure, à la relation avec Dieu, et à la conduite de vie.
Voici les principales distinctions :

1. La Relation avec Dieu
-Enfant de Dieu:
Un enfant de Dieu a une relation intime et personnelle avec Dieu, qui est fondée sur la foi en Jésus-Christ. Cette relation est caractérisée par l’amour, la confiance, et l’accès direct à Dieu comme Père. L’Esprit Saint réside en lui, témoignant de son adoption spirituelle.
-Autre personne:
Une personne qui n’est pas considérée comme enfant de Dieu n’a pas cette relation intime avec Dieu. Elle peut avoir une conscience de Dieu, voire une croyance en Dieu, mais elle n’a pas cette relation de filiation spirituelle basée sur la foi en Jésus-Christ.

2.La Nouvelle Identité
-Enfant de Dieu:
Un enfant de Dieu reçoit une nouvelle identité en Christ. Il est «né de nouveau»(Jean 3:3), ce qui signifie une transformation radicale de son être intérieur. Sa vie est désormais définie par sa relation avec Christ, et il est considéré comme une nouvelle création (2 Corinthiens 5:17).
-Autre personne:
Sans cette nouvelle naissance, la personne conserve son identité humaine naturelle, influencée par ses propres désirs, les influences du monde, et le péché. Elle n’a pas cette transformation intérieure qui vient avec la régénération spirituelle.

3.La Conduite et le Caractère
-Enfant de Dieu:
La vie d’un enfant de Dieu est marquée par un changement de comportement et de valeurs. Il cherche à vivre selon les enseignements de Jésus, manifestant les fruits de l’Esprit (amour, joie, paix, patience, bonté, fidélité, douceur, maîtrise de soi) (Galates 5:22-23). Son caractère se transforme progressivement pour ressembler davantage à celui de Christ.
-Autre personne:
Bien que certaines personnes non croyantes puissent aussi manifester de bonnes qualités morales, leur conduite n’est pas nécessairement orientée par une relation avec Jésus-Christ. Les motivations, les priorités, et les objectifs de vie peuvent être fondamentalement différents.

4.La Destination Éternelle
-Enfant de Dieu:
Selon les enseignements chrétiens, un enfant de Dieu a l’assurance de la vie éternelle avec Dieu. Cette espérance en la vie après la mort et la résurrection influence sa perspective sur la vie actuelle et ses choix quotidiens.
-Autre personne:
Une personne qui n’est pas enfant de Dieu n’a pas cette même assurance. Sa vision de la vie et de l’au-delà peut être incertaine, influencée par d’autres croyances ou philosophies de vie.

5.L’Objectif de Vie
-Enfant de Dieu:
L’objectif de vie d’un enfant de Dieu est centré sur la volonté de Dieu. Il cherche à glorifier Dieu, à accomplir sa mission, et à vivre selon les principes du Royaume de Dieu. Sa vie est marquée par un sens de l’appel et du service.
-Autre personne:
L’objectif de vie pour quelqu’un qui n’est pas enfant de Dieu peut varier grandement, mais il est souvent orienté vers la poursuite du bonheur personnel, le succès matériel, ou l’accomplissement des désirs individuels, sans nécessairement chercher à aligner sa vie sur une volonté divine.

6.La Paix Intérieure et la Joie
-Enfant de Dieu:
Un enfant de Dieu expérimente une paix et une joie qui transcendent les circonstances, car elles sont ancrées dans sa relation avec Dieu. Cette paix découle de la réconciliation avec Dieu et de la certitude de son amour.
-Autre personne:
Bien que d’autres puissent connaître des moments de bonheur, la paix intérieure profonde et durable qui vient de la communion avec Dieu peut leur faire défaut, surtout en temps de crise ou d’incertitude.

En résumé, ce qui différencie substantiellement un enfant de Dieu d’une autre personne, c’est la transformation intérieure qui se manifeste par une nouvelle identité en Christ, une relation intime avec Dieu, une vie conduite par les valeurs chrétiennes, et l’assurance d’une destinée éternelle en communion avec Dieu.

Apôtre Jean-Claude SINDAYIGAYA

GOD IS NOT A CHRISTIAN

God is not a Christian, nor
even Jesus Christ.
Indeed, Christianity began in Antioch, under the teaching ministry of the apostle Paul.
Before Antioch, people who believed in Jesus were not called Christians, they were called believers.
« The disciples were called Christians first at Antioch. »(Acts 11:26)

What then is God’s religion?
Our God has no religion.
However, even though our God has no religion, He is LOVE.
It is out of LOVE that He created man.
And His story with man is a LOVE story.

Indeed, since man fell into sin, and thus distanced himself from God, God has never abandoned him.
Because of His LOVE for us, God pursued us into our sinful life to save us from the sin problem that we are unable to free ourselves from because “he predestined us for adoption to sonship through Jesus Christ, in accordance with his pleasure and will.”(Ephesians 1:5)

It is out of LOVE that our Almighty God in the flesh of Jesus Christ died in our place so that we might have life.

Although our God is not a Christian, Christianity comes from God because a true Christian is recognized by LOVE.
Jesus Christ tells us this well:
“By this everyone will know that you are my disciples, if you love one another.”(John 13:35)

If then our way of life is not LOVE, our Christianity is meaningless, and we are not of God.

PRAYER:
Lord our God, grant us to be aware that you love us and to be able to love as you love us.
It is in the precious name of your son Jesus Christ that we pray, Amen.

Apostle Jean-Claude SINDAYIGAYA

L’ÉTERNEL N’EST PAS CHRÉTIEN

l’Éternel notre Dieu n’est pas chrétien, ni
même Jésus-Christ.
En effet, le christianisme a commencé à Antioche, sous le ministère d’enseignement de l’apôtre Paul.
Avant Antioche, les gens qui croyaient en Jésus n’étaient pas appelés chrétiens, ils étaient appelés croyants.
« Ce fut à Antioche que, pour la première fois, les disciples furent appelés chrétiens. »(Actes 11:26)

Quelle est alors la religion de Dieu ?
Notre Dieu n’a pas de religion.
Toutefois, même si notre Dieu n’a pas de religion, Il est AMOUR.
C’est par AMOUR qu’Il a créé l’homme.
Et son histoire avec l’homme est une histoire d’AMOUR.

En effet, depuis que l’homme est tombé dans le péché, et s’est ainsi éloigné de Dieu, Dieu ne l’a jamais abandonné.
À cause de son AMOUR pour nous, Dieu nous a poursuivi jusque dans notre vie pour nous sauver du problème du péché dont nous sommes incapables de nous libérer car nous sommes «prédestinés dans son amour à être ses enfants d’adoption par Jésus Christ, selon le bon plaisir de sa volonté.»(Éphésiens 1:5)

C’est par AMOUR que notre Dieu tout-puissant en la chair de Jésus-Christ est mort à notre place pour que, nous, nous ayons la vie.

Bien que notre Dieu ne soit pas chrétien, le christianisme vient de Dieu parce qu’on reconnait un vrai chrétien par l’AMOUR.
Jésus-Christ nous le dit bien:
« A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres. »(Jean 13:35)

Si alors notre mode de vie n’est pas l’AMOUR, notre christianisme n’a pas de sens, et nous ne sommes pas de Dieu.

PRIÈRE:
Éternel notre Dieu, donnez-nous d’être conscients que vous nous aimez et de pouvoir aimer comme vous nous aimez.
C’est dans le nom précieux de votre fils Jésus-Christ que nous prions, Amen.

Apôtre Jean-Claude SINDAYIGAYA

UWITEKA SI UMUKRISTO

Uwiteka Imana ntabwo ari umukristo, ndetse na Yesu Kristo ubwe ntabwo ari umu Kristo.
Muby’ukuri, ubukristo bwatangiriye muri Antiyokiya, biturutse ku murimo w’intumwa Pawulo.
Mbere ya Antiyokiya, abantu bizeraga Yesu ntibitwaga abakristo, bitwaga abigishwa.
« …muri Antiyokiya ni ho abigishwa batangiriye kwitwa Abakristo. »(Ibyakozwe 11:26)

None idini ry’Imana ni irihe?
Imana yacu nta dini ifite.
Ariko, n’ubwo Imana yacu idafite idini, ni URUKUNDO.
Ni kubw’URUKUNDO yaremye umuntu.
Kandi inkuru ye n’umuntu ni inkuru y’URUKUNDO.

Muby’ukuri, kuva umuntu yagwa mucyaha, bityo akitandukanya n’Imana, Imana ntiyigeze imutererana.
Imana yaradukurikiranye no mu buzima bwacu kugira ngo idukize ikibazo cy’icyaha tudashobora kwigobotora “Kuko yagambiriye kera ku bw’urukundo rwayo ko duhinduka abana bayo, tubiheshejwe na Yesu Kristo ku bw’ineza y’ubushake bwayo.”(Abefeso 1:5)

Biturutse ku RUKUNDO Imana yacu ishobora byose, mu mubiri wa Yesu Kristo, yapfiriye mu cyimbo cyacu, kugirango tubone ubuzima.

Nubwo Imana yacu itari umukristo, ubukristo buturuka ku Mana kuko umukristo nyawe amenyekanira ku RUKUNDO.
Yesu Kristo arabitubwira neza:
“Ibyo ni byo bose bazabamenyeraho ko muri abigishwa banjye, nimukundana.”(Yohana 13:35)

Niba rero uburyo bwacu bwo kubaho butari URUKUNDO, ubukristo bwacu ntacyo busobanuye, kandi ntabwo turi ab’Imana.
« Udakunda ntazi Imana kuko Imana ari urukundo. »(1 Yohana 4:8)

ISENGESHO:
Uwiteka Mwami Mana yacu, duhe kumenya ko udukunda kandi tubashe gukunda nk’uko udukunda.
Ni mu izina ry’agaciro ry’umwana wawe Yesu Kristo tubisabye, Amen.

Intumwa y’Imana Jean-Claude SINDAYIGAYA

UHORAHO S’UMUKRISTO

Uhoraho Imana yacu s’umukristo, na Yesu Kristo ubwiwe, s’umukristo.
Muvy’ukuri, ubukristo bwatangiriye i Antiyokiya, biturutse ku murimo w’intumwa Pawulo.
Imbere ya Antiyokiya, abantu bizera Yesu ntibitwa abakristo, babita abizera canke abigishwa.
« …muri Antiyokiya ni ho abigishwa batanguriye kwitwa Abakristo. »(Ivyakozwe n’Intumwa 11:26)

None idini ry’Imana ni irihe?
Imana yacu nta dini igira.
Ariko, n’aho Imana yacu itagira idini, ni URUKUNDO.
Ni kubw’URUKUNDO yaremye umuntu.
Kandi inkuru yayo n’umuntu n’inkuru y’URUKUNDO.

Muvy’ukuri, kuva umuntu agwa mu caha, bityo akitandukanya n’Imana, Imana yo ntiyamuhevye.
Imana yaradukurikiranye mu buzima bwacu kugira ngo idukize ikibazo c’icaha tutashobora kwigobotora “Kuko yagabiye kera ko duheshwa na Yesu Kristo gucika abana bayo kubgayo, nk’uko yabigomvye bikayihimbara.”(Abanyefeso 1:5)

Biturutse ku RUKUNDO, Imana yacu ishobora vyose, iciye mu mubiri wa Yesu Kristo, yapfiriye mu kibanza cacu, kugirango twebge tubone ubuzima.

N’aho Imana yacu itari umukristo, ubukristo bwo buturuka ku Mana kuko umukristo nyawe amenyekanira ku RUKUNDO.
Yesu Kristo arabitubwira neza:
“Ni mwagiriranira urukundo, ni ho bose bazomenya ko mur’abigishwa banje.”(Yohana 13:35)

Nimba rero uburyo bwacu bwo kubaho butari URUKUNDO, ubukristo bwacu n’ubw’ubusa, kandi natwe ntituri ab’Imana.
« Udakundana, ntazi Imana, kukw Imana ar’ urukundo. »(1 Yohana 4:8)

IGISABISHO:
Uhoraho Mwami Mana yacu, duhe kumenya ko udukunda kandi udushoboze gukunda nk’uko udukunda.
Ni mw’izina ridasanzwe ry’umwana wawe Yesu Kristo tubisavye, Amen.

Intumwa y’Imana Jean-Claude SINDAYIGAYA

LE COMPLOT CONTRE LA RÉSURRECTION DE JÉSUS-CHRIST

Le matin de Pâques, tandis que les femmes sont en chemin pour annoncer la résurrection de Jésus aux disciples, quelques hommes de la garde qui surveillaient son tombeau sont allés informer les principaux sacrificateurs juifs de ce qui était arrivé. Ceux-ci, tiennent alors conseil avec les responsables du peuple, et décident ensemble de dissimuler ce qui s’est passé.

La Bible dit que ceux-ci, après s’être assemblés avec les anciens et avoir tenu conseil, donnèrent aux soldats une somme importante d’argent, pour qu’ils racontent que les disciples de Jésus étaient venus de nuit et avaient volé son corps pendant que les gardes dormaient. Les chefs religieux ont également promis de protéger les soldats en intervenant auprès des autorités romaines, si jamais ces derniers avaient des ennuis pour avoir prétendument dormi pendant leur garde.

Ils leur ont dit: «Dites: Ses disciples sont venus de nuit le dérober, pendant que nous dormions. Et si le gouverneur l’apprend, nous l’apaiserons, et nous vous tirerons de peine. Les soldats prirent l’argent, et suivirent les instructions qui leur furent données. Et ce bruit s’est répandu parmi les Juifs, jusqu’à ce jour.»(Matthieu 28:12-15)

Ainsi, ils venaient d’inventer un complot selon lequel la résurrection est un mensonge, niant ainsi l’événement central de la foi chrétienne.

En effet, la résurrection de Jésus-Christ est un événement central de la foi chrétienne. Elle est considérée comme le fondement même du christianisme. Les chrétiens croient que Jésus est ressuscité des morts le troisième jour après sa crucifixion, marquant ainsi sa victoire sur la mort et le péché. Cette croyance est au cœur du message chrétien de salut et d’espérance en la vie éternelle.
La résurrection est célébrée chaque année lors de Pâques, la fête la plus importante du calendrier chrétien. Selon la théologie chrétienne, sans la résurrection, la foi chrétienne serait vaine, car elle prouve la divinité de Jésus et confirme ses enseignements. L’apôtre Paul souligne l’importance de cet événement dans 1 Corinthiens 15:14, où il déclare: « Et si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine. »

LE BUT DE CE COMPLOT

Le but du complot contre la résurrection de Jésus était de dissimuler cet événement et d’empêcher la diffusion de la croyance selon laquelle Jésus était réellement ressuscité des morts.
Les chefs religieux juifs, qui avaient été opposés à Jésus pendant son ministère, craignaient que la nouvelle de sa résurrection ne renforce davantage sa réputation et n’entraîne une augmentation du nombre de ses disciples. Ils voulaient éviter que ce miracle ne légitime Jésus en tant que Messie et Fils de Dieu, ce qui aurait pu compromettre leur autorité et leur position.

Les chefs religieux voyaient la résurrection de Jésus comme une menace directe à leur autorité et à leur contrôle sur le peuple. En répandant la rumeur que le corps de Jésus avait été volé par ses disciples, ils cherchaient à discréditer l’idée même de la résurrection.

Si les gens croyaient que Jésus était vraiment ressuscité, cela aurait renforcé sa revendication d’être le Messie et aurait poussé plus de personnes à suivre ses enseignements, affaiblissant ainsi l’influence des chefs religieux. Leur objectif était donc d’empêcher les gens de croire en Jésus en semant le doute et en discréditant ce moment central de la foi chrétienne.

Pourquoi les chefs religieux ont-ils dû être complices avec les gardes?

Les chefs religieux juifs de l’époque, principalement les pharisiens et les sadducéens, avaient plusieurs raisons pour lesquelles ils cherchaient à discréditer la résurrection de Jésus et ont donc dû être complices avec les gardes pour soutenir leur version des événements.

1. Maintenir leur autorité religieuse:
Jésus avait gagné une grande popularité parmi le peuple en raison de ses enseignements, de ses miracles, et de sa prétention à être le Messie. Si sa résurrection était avérée, cela aurait légitimé ses revendications et affaibli l’autorité des chefs religieux, mettant en danger leur position de pouvoir. Or, les chefs religieux, tels que les pharisiens et les sadducéens, avaient une position d’autorité et d’influence sur le peuple. La résurrection de Jésus représentait donc une menace directe à cette autorité, car elle pouvait être perçue comme une validation de ses enseignements et de ses revendications messianiques. Si le peuple croyait que Jésus était ressuscité, cela aurait affaibli leur pouvoir et leur contrôle.

2. Empêcher une révolte:
Les chefs religieux craignaient que la nouvelle de la résurrection de Jésus ne provoque des troubles parmi le peuple juif, qui était déjà sous l’occupation romaine. Une croyance généralisée en la résurrection de Jésus aurait pu entraîner un mouvement messianique encore plus fort, ce qui aurait pu provoquer une révolte contre les autorités romaines. Les chefs religieux, qui collaboraient avec les Romains pour maintenir l’ordre, voulaient éviter tout soulèvement qui aurait pu entraîner une répression brutale. Une insurrection ou un mouvement populaire en faveur de Jésus aurait pu attirer l’attention des autorités romaines, ce qui aurait pu conduire à une répression violente contre la population juive.

3. Peur de perdre le contrôle du peuple:
Si les gens croyaient en la résurrection de Jésus, ils pourraient commencer à suivre ses enseignements plutôt que ceux des autorités religieuses établies. Cela aurait affaibli le contrôle des chefs religieux sur le peuple et mis en péril leur influence.

4. Maintien de l’alliance avec les autorités romaines:
Les chefs religieux avaient une relation délicate avec les autorités romaines. Ils étaient responsables du maintien de l’ordre parmi les Juifs, et tout signe de trouble pouvait les mettre en conflit avec les Romains. En répandant la rumeur que le corps de Jésus avait été volé, ils cherchaient à éviter des représailles et à maintenir une stabilité relative sous la domination romaine.

5. Discréditer les disciples de Jésus:
En affirmant que les disciples avaient volé le corps, les chefs religieux cherchaient à discréditer non seulement l’événement de la résurrection, mais aussi les disciples eux-mêmes. Cela aurait pu semer le doute parmi ceux qui suivaient ou envisageaient de suivre les enseignements de Jésus.
En résumé, les chefs religieux avaient des motivations politiques, sociales, et religieuses pour discréditer la résurrection de Jésus, et ils ont donc choisi de collaborer avec les gardes pour élaborer une version des faits qui servirait leurs intérêts.

Et ce complot s’est répandu jusqu’aujourd’hui…

Le passage de Matthieu 28:15 mentionne que la rumeur selon laquelle les disciples de Jésus auraient volé son corps pendant que les gardes dormaient s’est répandue « parmi les Juifs, jusqu’à ce jour. »
Cette diffusion du mensonge a probablement eu lieu de plusieurs manières:

1. Propagation orale:
À l’époque, les informations et les rumeurs se répandaient principalement par le bouche-à-oreille. Les gardes, après avoir reçu l’argent des chefs religieux, ont sans doute partagé cette version des faits avec leurs proches, amis, et collègues. À mesure que cette histoire se propageait de personne en personne, elle a pris de l’ampleur, surtout dans une société où les nouvelles circulaient rapidement dans les marchés, les synagogues, et d’autres lieux de rassemblement.

2. Influence des chefs religieux:
Les autorités religieuses, qui jouissaient d’une grande influence sur la population juive, ont pu utiliser leur position pour renforcer et légitimer cette rumeur. Ils auraient pu enseigner ou insister sur cette version des faits dans les synagogues, ou lors des rassemblements publics, pour s’assurer que cette interprétation de l’événement soit acceptée par le plus grand nombre.

3. Répression des récits concurrents:
Les chefs religieux, en position de pouvoir, auraient pu tenter de discréditer ou de réprimer toute autre version de l’événement, y compris les témoignages des disciples de Jésus concernant sa résurrection. En contrôlant la narration dominante, ils pouvaient mieux influencer l’opinion publique.

4. Méfiance envers les disciples:
Pour beaucoup de Juifs qui n’étaient pas convaincus de la messianité de Jésus, l’idée que les disciples aient volé son corps pouvait sembler plausible. Cette méfiance naturelle envers un groupe minoritaire qui prêchait un message controversé aurait facilité l’acceptation de la rumeur.

5. Perpétuation au fil des générations:
Une fois que cette rumeur s’est ancrée dans la communauté, elle a pu être transmise de génération en génération, à travers les récits familiaux, les enseignements religieux, et les traditions culturelles.
En résumé, la diffusion de cette rumeur s’est appuyée sur la propagation orale, l’influence des autorités religieuses, et une méfiance préexistante envers les disciples, ce qui a permis à cette histoire de se répandre largement et de perdurer dans le temps.

Le complot visant à discréditer la résurrection de Jésus, tel qu’il est mentionné dans l’Évangile de Matthieu, a pris différentes formes au fil des siècles, et ses échos se font encore sentir aujourd’hui. Voici quelques-unes des manières dont ce récit s’est perpétué ou transformé:

1. Théories du complot historique:
– Vol du corps: L’idée que le corps de Jésus a été volé par ses disciples, proposée par les chefs religieux pour expliquer la tombe vide, est une théorie qui a persisté au fil des siècles. Certains critiques et sceptiques de la résurrection continuent de promouvoir cette idée comme une alternative à la croyance en un événement surnaturel.
– Théories de substitution: D’autres théories ont émergé, suggérant que Jésus n’est pas réellement mort sur la croix, mais qu’il a été remplacé par quelqu’un d’autre ou qu’il a survécu à la crucifixion. Ces théories visent également à nier la résurrection.

2. Critiques et scepticisme moderne:
– Rationalisme et scepticisme: Avec l’avènement du rationalisme et de la pensée critique, particulièrement depuis le Siècle des Lumières, de nombreux penseurs ont rejeté la résurrection comme étant un mythe ou une légende embellie. Ils ont cherché des explications naturelles aux récits évangéliques, souvent en minimisant les aspects surnaturels.
– Débats académiques: La résurrection de Jésus reste un sujet de débat parmi les historiens, théologiens et philosophes. Certains chercheurs sceptiques continuent de proposer des explications alternatives à la résurrection, tandis que d’autres soutiennent l’authenticité historique de l’événement.

3. Représentations culturelles et médiatiques:
– Littérature et médias: Dans la littérature, les films, et d’autres formes de média, des récits fictifs ont souvent repris ou réinterprété l’idée d’un complot autour de la résurrection. Des œuvres ont exploré des scénarios où la résurrection est dépeinte comme une fraude ou un malentendu, contribuant à maintenir ces idées dans l’imaginaire populaire.
– Réinterprétations religieuses: Certaines branches du christianisme libéral ou d’autres mouvements religieux proposent des interprétations allégoriques ou symboliques de la résurrection, la voyant non comme un événement historique littéral, mais comme une métaphore spirituelle.

4. Controverses religieuses contemporaines:
– Divergences interreligieuses: Le débat sur la résurrection est également présent dans le dialogue interreligieux, notamment entre chrétiens et musulmans, ainsi que dans les échanges avec des personnes de foi juive. Certains groupes religieux remettent en question la résurrection comme une vérité historique, ce qui alimente des discussions théologiques.

En somme, bien que le récit du complot contre la résurrection soit ancien, ses implications continuent d’influencer les discussions sur la nature de la résurrection de Jésus et son rôle dans la foi chrétienne, ainsi que dans la critique religieuse et historique.

Les implications de ce complot sur la foi Chrétienne

La négation de la résurrection de Jésus devait sûrement avoir des implications profondes sur la foi chrétienne.
Voici quelques-unes de ces implications, accompagnées de leurs références bibliques:

1. La prédication serait vaine
Référence biblique:
«Si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine.»(1 Corinthiens 15:14)
Implication:
Si Jésus n’est pas ressuscité, la prédication des apôtres et de tous les chrétiens serait sans fondement, car le message central de l’Évangile repose sur la résurrection. Sans elle, il n’y aurait rien de valable à prêcher.

2. La foi des chrétiens serait inutile
Référence biblique:
«Si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine.»(1 Corinthiens 15:14)
Implication:
La foi chrétienne repose sur la conviction que Jésus est vivant, qu’il a vaincu la mort et qu’il est le Sauveur du monde. Sans la résurrection, cette foi serait inutile et sans fondement.

3. Les chrétiens seraient encore dans leurs péchés
Référence biblique:
Jésus a été livré pour nos péchés, et «il est ressuscité pour que nous soyons déclarés justes.»(Romains 4:25)
«Et si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés.»(1 Corinthiens 15:17)
Implication:
La résurrection est la preuve que le sacrifice de Jésus pour les péchés a été accepté par Dieu. Si Jésus n’est pas ressuscité, alors son sacrifice ne serait pas suffisant pour effacer les péchés, et les croyants seraient toujours sous la condamnation.

4. Les morts en Christ seraient perdus
Référence biblique:
«Et par conséquent aussi, ceux qui sont morts en Christ sont perdus.»(1 Corinthiens 15:18)
Implication:
Ceux qui sont morts en croyant en Jésus seraient définitivement perdus, car il n’y aurait pas de vie après la mort sans la résurrection. L’espérance en la vie éternelle disparaîtrait.

5. Les chrétiens seraient les plus à plaindre
Référence biblique:
«Si c’est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes.»(1 Corinthiens 15:19)
Implication:
Si l’espérance des chrétiens en Christ ne se limite qu’à cette vie, alors ils seraient les plus misérables, car ils ont placé leur foi en une illusion et enduré des souffrances pour une cause vaine.

6. La défaite de la mort ne serait pas accomplie
Référence biblique:
«Lorsque ce corps corruptible aura revêtu l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura revêtu l’immortalité, alors s’accomplira la parole qui est écrite: La mort a été engloutie dans la victoire. O mort, où est ta victoire? O mort, où est ton aiguillon?»(1 Corinthiens 15:54-55)
«Car si nous avons été unis à lui par une mort semblable à la sienne, nous le serons aussi par une résurrection semblable à la sienne.»(Romains 6:5)
Implication: La résurrection de Jésus est vue comme la défaite ultime de la mort. Si elle n’a pas eu lieu, alors la mort n’a pas été vaincue, et elle reste la puissance finale sur l’humanité. La résurrection de Christ annonce la nôtre! Sans la sienne, l’attente de la nôtre s’évapore.

En résumé, sans la résurrection, le message du christianisme perdrait sa puissance et sa pertinence, car la résurrection est la garantie du salut, de la rédemption, et de la vie éternelle pour les croyants.

LES CONSÉQUENCES DE CE COMPLOT

Ce complot a eu des conséquences multiples, touchant à la fois la perception de l’événement par les contemporains et l’histoire ultérieure du christianisme. En voici quelques unes:

1. Division d’opinions:
Le complot a contribué à semer la confusion et la division parmi les gens. Certains ont cru en la résurrection de Jésus, tandis que d’autres, influencés par la version des autorités religieuses, ont pensé que son corps avait été volé par ses disciples. Cette divergence d’opinions a perduré et continue d’exister dans les débats historiques et religieux autour de la résurrection.

2. Renforcement de la foi chrétienne:
Malgré le complot, la foi en la résurrection de Jésus s’est propagée rapidement parmi ses disciples et au-delà. Les chrétiens voyaient dans ces tentatives de dissimulation une confirmation de l’importance et de la vérité de la résurrection, ce qui a renforcé leur détermination à proclamer ce message.

3. Développement de l’apologétique chrétienne:
Le complot a également conduit à l’élaboration d’arguments apologétiques de la part des premiers chrétiens pour défendre la réalité de la résurrection. Ils ont insisté sur le fait que les gardes n’auraient jamais pu dormir pendant leur service sans être punis, et que les disciples, craintifs et dispersés après la crucifixion, n’auraient pas osé voler le corps.
1.Propagation du christianisme:
Le complot a finalement échoué à empêcher la propagation du christianisme. La foi en la résurrection de Jésus est devenue le fondement du christianisme, et les récits de cette résurrection ont été largement diffusés par les apôtres et les premiers chrétiens, conduisant à la croissance rapide de la religion à travers l’Empire romain et au-delà.
2.Persécution des chrétiens:
En tentant de discréditer la résurrection, les autorités religieuses ont contribué à la persécution des premiers chrétiens, car ceux-ci continuaient à prêcher la résurrection malgré les tentatives de suppression. Cependant, ces persécutions ont souvent eu l’effet inverse, renforçant la foi des croyants et attirant davantage de personnes à la nouvelle foi.

En résumé, bien que le complot ait eu des effets immédiats sur la perception de l’événement, il n’a pas réussi à freiner l’expansion du christianisme, et a même, paradoxalement, contribué à renforcer la foi des premiers chrétiens.

Toutefois, il est regrettablement remarquable que ce complot reste encore aujourd’hui à la base d’un mouvement négativiste envers la foi en Jésus-Christ. Dans la tradition chrétienne, les implications de ne pas croire en Jésus-Christ sont profondément spirituelles et théologiques.
Voici quelques-unes des principales conséquences selon la doctrine chrétienne:

1.Séparation de Dieu:
Dans le christianisme, Jésus-Christ est vu comme le médiateur entre Dieu et l’humanité. En ne croyant pas en Jésus, une personne est perçue comme restant séparée de Dieu, incapable de recevoir le pardon des péchés et la réconciliation avec le Créateur.

2.Perte du salut:
La croyance en Jésus-Christ est considérée comme essentielle pour le salut. Selon le Nouveau Testament, ceux qui rejettent Jésus et son sacrifice pour les péchés ne recevront pas la vie éternelle, mais sont condamnés à la perdition éternelle (Jean 3:16-18, Romains 6:23). Cette perspective souligne que la foi en Jésus est indispensable pour être sauvé de la condamnation et pour entrer dans le royaume de Dieu.

3.Absence de la vie éternelle:
La foi en Jésus-Christ est associée à la promesse de la vie éternelle avec Dieu. En rejetant Jésus, une personne renonce à cette promesse et, selon la croyance chrétienne, fait face à une existence éternelle séparée de Dieu, souvent décrite comme l’enfer.

4.Manque de transformation intérieure:
Les chrétiens croient que la foi en Jésus conduit à une transformation intérieure par le Saint-Esprit, qui aide les croyants à vivre selon les valeurs du Royaume de Dieu, comme l’amour, la justice, et la paix. Sans cette foi, cette transformation et les fruits qu’elle produit dans la vie quotidienne peuvent être absents.

5.Jugement final:
Selon les Écritures chrétiennes, il y aura un jugement final où toutes les personnes seront jugées selon leur foi et leurs actions. Ceux qui n’ont pas cru en Jésus-Christ seront jugés en conséquence et punis pour leurs péchés, car ils n’auront pas accepté le pardon offert par le Christ.

6.Perte de la guidance divine:
La foi en Jésus est également vue comme la source de guidance, de sagesse, et de direction divine dans la vie quotidienne. Sans cette foi, une personne peut manquer cette guidance, qui est perçue comme essentielle pour vivre selon la volonté de Dieu.

En résumé, ne pas croire en Jésus-Christ, selon la théologie chrétienne, a des implications éternelles et spirituelles majeures, qui touchent à la relation avec Dieu, au salut, et à la destinée éternelle de l’individu.
Et dans la perspective chrétienne, ne pas croire en Jésus-Christ peut être interprété comme une forme de victoire pour Satan.
Voici comment cette idée est généralement comprise dans la théologie chrétienne :
1. Satan comme adversaire de Dieu:
Satan est souvent décrit dans la Bible comme l’ennemi de Dieu et de l’humanité, cherchant à détourner les gens de la vérité de l’Évangile et à les éloigner de Dieu. En refusant de croire en Jésus-Christ, une personne peut être vue comme cédant à l’influence de Satan, qui cherche à empêcher les gens de recevoir le salut offert par Dieu.
2. Victoire apparente de Satan:
Si quelqu’un rejette la foi en Jésus, cela peut être interprété comme une victoire temporaire pour Satan, car il a réussi à éloigner cette personne de la lumière et de la vérité de l’Évangile. Cependant, cette « victoire » est considérée comme temporaire parce que, dans la vision chrétienne, la victoire ultime appartient à Dieu, et Satan sera finalement vaincu.
3. Perdition et séparation éternelle:
Le rejet de Jésus-Christ est perçu comme conduisant à la perdition, c’est-à-dire à la séparation éternelle d’avec Dieu. Dans ce contexte, la personne qui ne croit pas en Jésus est vue comme étant sous l’influence de Satan, qui cherche à éloigner les âmes de Dieu. La perdition est souvent associée à l’enfer, un état ou un lieu de séparation éternelle d’avec Dieu, où Satan et ses anges déchus seront également jetés selon la tradition chrétienne (Matthieu 25:41).
4. Satan comme trompeur:
Satan est souvent décrit comme un trompeur, un « père du mensonge » (Jean 8:44). En ne croyant pas en Jésus, une personne peut être perçue comme ayant été trompée par les mensonges de Satan, qui cherche à obscurcir la vérité du Christ et à maintenir les gens da eu des effets immédiats sur la perception de l’événement ns les ténèbres spirituelles.
5. Importance de la foi pour résister à Satan:
La foi en Jésus-Christ est considérée comme une armure spirituelle qui protège les croyants contre les attaques de Satan. Dans Éphésiens 6:10-18, Paul parle de « l’armure de Dieu », où la foi, la vérité, et le salut sont des éléments essentiels pour résister aux « ruses du diable ».

Ainsi, selon la théologie chrétienne, ne pas croire en Jésus-Christ est vu comme un triomphe pour Satan, car cela signifie que la personne n’a pas accepté le salut et la réconciliation avec Dieu. Cela conduit à la perdition, une séparation éternelle d’avec Dieu, et une existence sous l’influence de Satan.

Il y a donc un lien évident entre ce complot et le satanisme !

Le lien entre le complot contre la résurrection de Jésus et le satanisme est principalement d’ordre interprétatif et théologique, et dépend largement des perspectives religieuses spécifiques.

1. Perspective chrétienne:
Dans le christianisme, la résurrection de Jésus est considérée comme l’événement central qui confirme sa divinité et le salut offert à l’humanité. Les Évangiles racontent que les chefs religieux juifs de l’époque ont tenté de dissimuler la résurrection en soudoyant des soldats pour qu’ils disent que le corps de Jésus avait été volé (Matthieu 28:12-15). Dans cette perspective, toute tentative de nier ou de discréditer la résurrection est vue comme une opposition à la vérité divine.

2. Liens avec le satanisme:
Le satanisme, tel qu’il est compris dans la tradition chrétienne, représente une opposition directe à Dieu et à ses plans. Or, tous les plans de Dieu pour sauver le monde ont été réalisées en et par Jésus-Christ lui-même. Par conséquent, les actes ou les complots visant à discréditer la résurrection de Jésus pourraient être interprétés comme étant inspirés par Satan ou comme relevant d’une influence satanique, puisque Satan est perçu comme l’adversaire de Dieu et du Christ.

3. Interprétations théologiques:
Certains théologiens ou croyants peuvent voir dans le complot pour nier la résurrection un exemple de l’œuvre de Satan pour tromper l’humanité et empêcher les gens de croire en Jésus. De ce point de vue, ceux qui tentent de contester ou de cacher la résurrection seraient, consciemment ou non, des instruments de l’opposition satanique au plan divin.

Il est important de noter que ces liens ne sont pas des faits établis mais des interprétations religieuses qui dépendent de la foi et des croyances personnelles. Toutefois, si l’on lit les onze règles du Satanisme, l’on reconnait si facilement leur aspect négateur à l’égard de la foi chrétienne.

Les « Onze Règles du Satanisme » font référence aux principes énoncés par Anton LaVey, le fondateur de l’Église de Satan, dans La Bible Satanique (1969). Ces règles ne sont pas des « commandements » au sens religieux traditionnel, mais plutôt des directives de comportement pour ceux qui adhèrent à la philosophie satanique de LaVey, qui se concentre sur l’individualisme, l’autosuffisance et le rejet des contraintes religieuses traditionnelles.

Voici les Onze Règles du Satanisme selon Anton LaVey :
1. Ne donnez pas votre opinion ou vos conseils à moins d’être demandé.
2. Ne racontez pas vos soucis aux autres à moins que vous ne soyez sûr qu’ils veulent les entendre.
3. Lorsqu’on est chez quelqu’un, montrez-lui du respect ou ne vous y rendez pas.
4. Si un invité dans votre demeure vous ennuie, traitez-le avec cruauté et sans pitié.
5. Ne faites pas d’avances sexuelles à moins que vous n’ayez reçu des signaux d’accouplement.
6. Ne prenez pas ce qui ne vous appartient pas, à moins que cela ne soit un fardeau pour l’autre personne et qu’il ou elle en réclame délivrance.
7. Reconnaissez la puissance de la magie si vous l’avez utilisée avec succès pour obtenir vos désirs. Si vous niez la puissance de la magie après l’avoir utilisée avec succès, vous perdrez tout ce que vous avez obtenu.
8. Ne vous plaignez pas de quelque chose à laquelle vous n’avez pas besoin de vous exposer.
9. Ne faites pas de mal aux jeunes enfants.
10. Ne tuez pas d’animaux, sauf pour vous nourrir ou pour vous défendre.
11. Lorsque vous marchez en terrain ouvert, ne dérangez personne. Si quelqu’un vous dérange, demandez-lui d’arrêter. S’il ne le fait pas, détruisez-le.

Ces règles reflètent l’éthique individualiste et parfois provocatrice du satanisme laveyen, qui se distingue nettement du satanisme tel qu’il est souvent compris dans un sens chrétien ou populaire. Le satanisme laveyen n’implique pas le culte d’une entité nommée Satan, mais plutôt l’exaltation de soi-même et le rejet des dogmes religieux traditionnels.

Plus concrètement, ces Onze Règles du Satanisme d’Anton LaVey et les dix Commandements bibliques sont fondamentalement opposés sur plusieurs aspects, principalement en raison des différences entre les philosophies qu’ils représentent.
Les Dix Commandements, issus de la tradition judéo-chrétienne, prônent la moralité, l’humilité, et la relation avec Dieu et les autres, tandis que les règles du satanisme laveyen prônent l’individualisme, la satisfaction personnelle, et le rejet de la morale religieuse traditionnelle.
Voici une comparaison entre les deux:

1. Dieu contre l’individualisme:
– Premier Commandement (Bible): «Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face.»
– Règle satanique:
Le satanisme laveyen place l’individu au centre, rejetant l’adoration de tout être supérieur, ce qui entre directement en conflit avec l’idée d’un Dieu unique qui doit être vénéré.

2. Humilité contre la fierté:
– Dixième Commandement (Bible): «Tu ne convoiteras pas…»
– Règle satanique:
L’individualisme et la fierté personnelle sont valorisés, ce qui va à l’encontre de l’humilité et du contentement que le dixième commandement prône.

3. Respect des autres contre vengeance personnelle:
– Sixième Commandement (Bible): «Tu ne tueras point.»
– Règle satanique 11: «…Si quelqu’un vous dérange, demandez-lui d’arrêter. S’il ne le fait pas, détruisez-le.»
Cette règle encourage la vengeance personnelle, en contradiction directe avec l’interdiction du meurtre et la promotion du pardon dans le christianisme.

4. Fidélité et morale sexuelle contre satisfaction personnelle:
– Septième Commandement (Bible): «Tu ne commettras point d’adultère.»
– Règle satanique 5: «Ne faites pas d’avances sexuelles à moins que vous n’ayez reçu des signaux d’accouplement.»
La règle satanique met l’accent sur la satisfaction sexuelle personnelle avec consentement, mais ne soutient pas les notions de fidélité et de morale sexuelle stricte que le christianisme promeut.

5. Respect des autres contre intérêt personnel:
– Cinquième Commandement (Bible): «Honore ton père et ta mère.»
– Règle satanique 3 et 4:
Le respect n’est dû qu’à ceux qui le méritent selon le satanisme, alors que la Bible commande un respect inconditionnel envers ses parents.

6. Honnêteté contre manipulation:
– Huitième Commandement (Bible): «Tu ne voleras point.»
et Neuvième Commandement(Bible): «Tu ne porteras point de faux témoignage contre ton prochain.»
– Règle satanique 6:
Le satanisme autorise la prise de ce qui peut être utile si c’est un « fardeau » pour quelqu’un d’autre, ce qui pourrait être vu comme une justification du vol ou de la manipulation.

7. Bienveillance contre égoïsme:
– Deuxième Commandement (Bible): «Tu ne feras point d’image taillée…»
et Quatrième Commandement(Bible): «Souviens-toi du jour du repos…»
– Règle satanique 8:
Le satanisme laveyen favorise l’égoïsme, l’accent étant mis sur le bien-être personnel plutôt que sur l’adoration de Dieu ou la bienveillance envers les autres.

En somme, les Onze Règles du Satanisme de LaVey offensent les Dix Commandements principalement parce qu’elles promeuvent une philosophie qui valorise l’individualisme, l’égoïsme, et le rejet des principes religieux traditionnels. Le christianisme, à travers les Dix Commandements, prône une vie centrée sur Dieu, la communauté, la moralité, et l’humilité. Le contraste fondamental est donc entre l’altruisme religieux et l’individualisme extrême.

Quel est le rapport entre le rejet de la résurrection de Jésus-Christ et le chiffre 666 ?

Le chiffre 666, souvent appelé « le nombre de la bête, » est mentionné dans le livre de l’Apocalypse (ou Révélation) dans le Nouveau Testament de la Bible. Il a suscité de nombreuses interprétations et spéculations au fil des siècles, et il est souvent associé à l’antéchrist.
Or, l’Esprit de l’Antéchrist fait référence à toute doctrine, philosophie, ou influence qui nie que Jésus est le Christ et qui s’oppose à l’enseignement de l’Évangile. Jean en parle dans ses épîtres en disant que « beaucoup d’antéchrists sont déjà venus »(1 Jean 2:18).
Cet esprit agit dans le monde pour tromper et égarer les croyants, souvent en les séduisant avec des enseignements qui dénaturent la vérité de l’Évangile.

1. Le Contexte Biblique du Chiffre 666
Le chiffre 666 apparaît spécifiquement dans Apocalypse 13:18: « C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. » Ce passage est souvent interprété comme une description symbolique de l’antéchrist ou d’un pouvoir opposé à Dieu et à Jésus-Christ. Dans le contexte de l’Apocalypse, la bête est vue comme une figure ou une force qui s’oppose au Christ et à son règne.

2. Symbolisme du Chiffre 666
Le chiffre 666 est symbolique et a été interprété de plusieurs manières au fil du temps:
– Imparfait ou Incomplet: Le chiffre 7 est souvent associé à la perfection ou à la complétude divine dans la Bible (par exemple, la création du monde en sept jours). Le chiffre 6, étant juste en dessous de 7, peut symboliser l’imperfection ou l’incomplétude. Le triple 6 pourrait donc représenter une forme d’imperfection ultime ou de faillite spirituelle complète, en opposition à la perfection divine.
– Numérologie et Noms: Certaines interprétations historiques suggèrent que 666 pourrait être un code numérologique pour désigner une figure spécifique. Par exemple, dans le système de gématria (où les lettres sont attribuées à des chiffres), certains croient que 666 pourrait correspondre à un nom particulier, comme « Néron César, » un empereur romain persécuteur des chrétiens.

3. Rejet de la Résurrection et 666
Le lien entre le rejet de la résurrection de Jésus-Christ et le chiffre 666 n’est pas explicitement mentionné dans la Bible, mais il peut être interprété symboliquement dans certains contextes théologiques:
– Opposition au Christ: La résurrection de Jésus-Christ est au cœur de la foi chrétienne. Rejeter la résurrection, c’est rejeter l’essence même du christianisme et du message de salut. Dans ce sens, toute force, idéologie ou personne qui s’oppose à la résurrection peut être perçue comme antichristique. Le chiffre 666, représentant l’antéchrist ou les forces qui s’opposent à Dieu, pourrait être symboliquement lié à ce rejet.
– Symbolisme Apocalyptique: Dans une perspective apocalyptique, le rejet de la résurrection pourrait être vu comme une caractéristique des forces du mal ou de l’antéchrist représentées par le chiffre 666. Dans ce contexte, le rejet de la résurrection est une manifestation du pouvoir du mal qui cherche à détourner les croyants de la vérité chrétienne.
– Théories Conspiratoires: Certains groupes ou individus peuvent associer le chiffre 666 à des théories conspirationnistes modernes où ils voient des signes de l’antéchrist ou du rejet du christianisme dans des événements ou des mouvements contemporains. Ces interprétations, bien qu’elles soient spéculatives, peuvent alimenter des croyances sur une opposition globale au christianisme, parfois liée au rejet de la résurrection.

4.Interprétations et Applications Modernes
De nos jours, le chiffre 666 est souvent utilisé dans la culture populaire et dans diverses théories du complot comme symbole de rébellion contre Dieu ou d’alignement avec des forces maléfiques. Cependant, ces interprétations sont souvent plus culturelles que théologiques et peuvent varier grandement en fonction des croyances individuelles et des contextes sociaux.

Conclusion
Le chiffre 666 est traditionnellement associé à l’antéchrist ou à des forces opposées à Dieu, telles que décrites dans le livre de l’Apocalypse. Le rejet de la résurrection de Jésus peut être vu comme une opposition directe à la foi chrétienne, et dans une perspective théologique ou symbolique, cela peut être lié à l’idée des forces du mal représentées par le chiffre 666. Cependant, cette association est plus symbolique et théologique qu’explicitement mentionnée dans les textes bibliques.

Apôtre Jean-Claude SINDAYIGAYA

JESUS ​​CHRIST IS NOT A WAY

If I say that Jesus is a way, Muslims would say that Muhammad is also a way, and Buddhists would say that Buddha is also a way and anyone could invent a way.

And yet, Jesus Christ is not a way among so many other ways, HE IS THE WAY, the only one in fact.

There are those who say that all ways lead to Rome. But this is not the case with God, not all ways lead to God. The only way that leads to God is Jesus Christ.
Jesus Christ says it well himself:
« I am the way and the truth and the life. No one comes to the Father except through me. »(John 14:6)

If Muhammad and Buddha are ways, neither of them dared or can dare to say that he is the life and the truth.
It is Jesus Christ who is the only way to our heavenly Father, for He is the Truth and the Life.
No one can come to the Father except through Jesus Christ.

PRAYER:
O Lord our God, help us to remain steadfast in the faith that Jesus Christ is the only way to you.
It is in the precious name of your Son Jesus Christ himself that we pray, Amen.

Apostle Jean-Claude SINDAYIGAYA