La Bible rappelle que la vie vient de Dieu et qu’aucun homme n’a le droit d’en disposer.
Lorsque Caïn ôta la vie à Abel, Dieu ne l’excusa pas, mais Il ne répondit pas par la mort.
Il mit un signe sur Caïn pour empêcher qu’on le tue, montrant que même le coupable ne doit pas être exécuté par vengeance (Genèse 4:15).
Ainsi, ôter la vie n’est jamais une solution: ni pour punir, ni pour se libérer, ni pour régler un conflit.
Beaucoup croient que la mort peut mettre fin à la souffrance ou réparer une injustice. Mais Jésus, face à la violence, n’a tué personne; au contraire, Il a donné Sa propre vie pour sauver ceux qui l’avaient rejeté.
Là où les hommes pensent que la mort est une fin, Dieu révèle qu’elle n’est jamais un remède, mais une perte irréversible. Dieu seul est le maître du temps, du jugement et de la destinée.
Aujourd’hui, l’Évangile nous appelle à protéger la vie, à choisir la patience plutôt que la vengeance, et l’espérance plutôt que le désespoir. Celui qui pense mettre fin à la vie d’autrui ou à la sienne oublie que Dieu peut encore changer une histoire, même quand tout semble sans issue.
Tant qu’il y a souffle, il y a grâce.
La mort n’est pas une solution, Dieu est la solution.
PRIÈRE:
Seigneur, apprends-nous à respecter la vie que Tu as donnée.
Délivre nos pensées de la violence, du désespoir et de la vengeance.
Remplis nos cœurs de Ta paix, de Ton amour et de Ton espérance.
Au nom de Jésus, Amen.
Apôtre Dr Jean-Claude SINDAYIGAYA